Fidèle à ses positions réactionnaires et anti-immigration, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a publié une nouvelle circulaire pour restreindre l’accès des étrangers à la nationalité française et s’apprête, lundi 5 mai, a en présenter le contenu lors d’un déplacement à la préfecture du Val-de-Marne, Créteil. Il avait déjà durci, en janvier dernier, les conditions de régularisation de la circulaire Valls.

Le président de la République française et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, organisent, lundi 5 mai à Paris, l’événement Choose Europe for Science. Imaginée en réaction à l’exode des scientifiques attaqués par l’administration Trump, la conférence devrait être l’occasion d’annonces d’aides financières par l’Élysée. Un choix que dénoncent les syndicats, alors que l’Enseignement supérieur français souffre d’une baisse de son budget.

Le tribunal correctionnel rend ce lundi 5 mai son jugement au procès de sept personnes soupçonnées d’avoir cyberharcelé le directeur artistique Thomas Jolly, après la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024.

Avec 40,5 % des suffrages, selon des résultats quasi finaux, le candidat d’extrême droite George Simion est arrivé largement en tête du premier tour de la présidentielle, dimanche 4 mai. Il affrontera au second tour, le 18 mai, le maire centriste de Bucarest Nicusor Dan.

Dans sa quête d’économies, le gouvernement a décidé de réduire les subventions à ce dispositif d’aide à l’entrée dans le monde du travail qui coûte très cher à l’État et dont les bienfaits sur l’emploi sont très limités.

Le texte transpartisan visant à lutter contre les déserts médicaux revient cette semaine à l’Assemblée nationale. Une tentative de régulation de l’installation qui ne passe pas du côté des praticiens libéraux, prêts à tout pour empêcher l’adoption définitive de la proposition de loi.

En France, quand les initiateurs d’un référendum perdent la partie, ils ont coutume d’accuser les électeurs d’avoir répondu à côté de la question posée. Voire d’ignorer leur « non » majoritaire, comme ce fut le cas après la dernière consultation de ce type, il y a vingt ans, sur le projet de traité constitutionnel européen. Qu’en serait-il a fortiori … Lire la suite

Sept mois après son début de mandat, la présidente Claudia Sheinbaum fait face à un double risque de fracture : dans la coalition qui l’a portée au pouvoir mais aussi au sein de son propre parti.

Ce lundi 5 mai débute une période de conflit social dans la compagnie nationale ferroviaire. La CGT cheminots et SUD dénoncent une flexibilité accrue des temps de travail et réclament une révision des primes.

C’est l’histoire d’un rodéo urbain, « filmé en vue d’être utilisé pour un clip de rap », qui a dégénéré après un contrôle. Bilan : deux blessés, un jeune homme de 19 ans et un agent. Et beaucoup de flou autour de cette séquence qui a secoué la Seine-Saint-Denis vendredi soir.

La proposition de loi visant à lutter contre les inégalités territoriales d’accès aux professionnels de santé revient à l’Assemblée. Parmi les quatre articles soumis à discussion, l'un entend rétablir l’obligation des gardes de médecins : débats houleux à prévoir.

Dans un entretien au Journal du dimanche, le premier ministre a mis en scène ses obsessions : la France ne produit pas assez et est trop endettée. Il envisage de soumettre un plan de réforme austéritaire à un référendum.

Pas de panique si vous avez décroché de l’actualité pendant ce long week-end. L’Humanité vous fait un récap' de ce qu’il ne fallait pas manquer ces dernières 48 heures.

En annonçant une convention citoyenne sur le thème des rythmes scolaires, Emmanuel Macron aimerait reléguer au second plan les vraies urgences d’une école en grande souffrance depuis son arrivée au pouvoir.

Le Sénat français examinera en deuxième lecture, mardi 6 mai, une proposition de loi de l’élu socialiste Hussein Bourgi visant à réhabiliter les personnes LGBT condamnées pour leur orientation sexuelle.

La président du Mexique Claudia Sheinbaum a refusé que son puissant voisin déploie son armée dans son pays sous couvert de lutter contre le trafic de drogue.

Le blocage total de l’aide humanitaire dans l’enclave par Israël depuis le 2 mars plonge les Gazaouis, déjà harassés par les bombardements incessants, dans la famine. L’ONU dénonce l’usage de ce procédé « comme arme de guerre ».

Le premier ministre israélien continue à mener ses guerres et se présente en protecteur des minorités, notamment les Druzes, alors qu’il occupe des territoires, comme dans le Sud syrien. L’aviation israélienne a bombardé plusieurs sites.