L’équipe dévoilée par le premier ministre, dimanche soir, devra affronter dès cette semaine, à l’Assemblée nationale, deux motions de censure, une de la France insoumise et une autre du Rassemblement national.
Les responsables de la diplomatie se disent prêts à plus de « frontalité » dans leur réponse aux immixtions attendues en faveur de l’extrême droite, notamment en période électorale.
Le nom du préfet de police de Paris, spécialiste des questions de sécurité et proche du garde des sceaux, Gérald Darmanin, avait déjà été avancé à l’occasion de plusieurs remaniements.