Des dizaines de salariés contraints de travailler par 32 °C, 38 °C, voire par plus de 40 °C, témoignent auprès du « Monde ». Ils racontent leurs difficultés, leur souffrance pour certains, ainsi que leurs relations avec des employeurs souvent indifférents au sort des équipes exposées aux fortes chaleurs.
Les établissements non commerciaux pour personnes âgées manquent de moyens et d’effectifs pour garantir le bien-être de leurs résidents lors des fortes chaleurs.
Le trafic s’annonce très perturbé jeudi dans les aéroports parisiens et du sud de la France, après un appel à la grève de deux syndicats d’aiguilleurs du ciel pour défendre leurs conditions de travail.
Le procès a mis en lumière une culture d’entreprise toxique chez Ubisoft, tandis que l’absence de poursuites contre la société et sa direction suscite l’indignation des parties civiles.
Face à l’explosion du nombre de satellites, ArianeGroup, Safran et plusieurs start-up misent sur l’essor des services de connaissance spatiale, très dépendante pour l’heure des Etats-Unis.
La productivité des salariés augmente dès qu’on leur permet de davantage s’impliquer dans leur mission et de donner du sens à leur travail, constate Pauline Grosjean, dans sa chronique au « Monde ».
L’utilisation des aides publiques et leur conditionnement, leur rôle pour orienter la stratégie des entreprises… Autant d’enjeux qui ont animé les débats de la commission sénatoriale qui a vu défiler devant elle aussi bien des grands patrons du CAC 40 que le ministre de l’économie, des fonctionnaires de Bercy ou des chercheurs.
En menaçant de lancer un parti politique afin de faire perdre les membres du Congrès prêts à voter la loi budgétaire de Trump lors des élections de mi-mandat, Elon Musk a suscité l’ire du président américain, lequel envisage « la possibilité » d’expulser le milliardaire. De quoi inquiéter Wall Street, où l’action Tesla a chuté de 5,3 % sur un marché en hausse, observe Isabelle Chaperon, journaliste économique au « Monde ».
Dans cette ville de la banlieue sud de Paris, la municipalité traite la vague de chaleur comme une situation d’urgence. Mais les investissements nécessaires pour une véritable adaptation du bâti scolaire, notamment, restent hors de portée dans l’immédiat.
L’électricien national, qui a dû stopper lundi un réacteur à Golfech (Tarn-et-Garonne), pour limiter les rejets d’eau chaude dans la Garonne, reste rassurant sur les effets à court terme des vagues de chaleur sur le parc nucléaire. Mais son autorité de sûreté comme la Cour des comptes l’incitent à accélérer son adaptation.