Dans une tribune au « Monde », l’universitaire polonais Maciej Kisilowski appelle à ne pas considérer l’ingérence russe comme la principale menace qui pèse sur la politique européenne. A ses yeux, le vrai danger réside dans l’essor des idées populistes et dans l’incapacité du camp progressiste à comprendre ses électeurs.
Le plan de paix de Trump pour Gaza laisse peu de place aux Palestiniens pour déterminer leur avenir, rappelle le politiste dans une tribune au « Monde ». La « déclaration de New York », portée par la France, suit une autre logique et entend redonner un horizon politique à la région sur la base de la solution à deux Etats.