Après le refus du chef de l’Etat d’admettre le résultat des élections législatives perdues de 2024, son obstination à garder la main sous différentes formes a déjà conduit deux premiers ministres à échouer en à peine douze mois.
Alors que l’ampleur de la dette nourrit des discours anxiogènes cherchant à légitimer des baisses drastiques de dépenses publiques, des solutions existent pour éviter de prélever des impôts et de baisser les investissements, explique un collectif d’économistes et de défenseurs de l’environnement, parmi lesquels Jézabel Couppey-Soubeyran et Augustin Sersiron, dans une tribune au « Monde ».
Pour Philippe Conte, professeur émérite de droit pénal à l’université Panthéon-Assas, les juges n’ont pas statué selon leur bon plaisir ou leur ressentiment dans l’affaire dite « du financement libyen » : ils ont plus simplement appliqué les lois votées hier par ceux qui s’en plaignent aujourd’hui.