Vingt et un suspects ont été présentés, vendredi, à des juges d’instruction. A 20 heures, treize avaient déjà été mis en examen. L’enquête écarte les pistes de la gauche radicale ou d’une ingérence étrangère.
La magistrate a précisé que le PNAT demeurait « en observation » sur ce dossier sensible. Dimanche, l’un des avocats de la famille de la victime a affirmé qu’il ne faisait « aucun doute » que ce meurtre est « une attaque de nature terroriste ».
Les débats dans l’hémicycle sur les deux textes commenceront le 12 mai pour deux semaines, avec une discussion générale commune, et deux votes solennels prévus le 29 mai.