Le sociologue Benoît Coquard, qui enquête sur les classes populaires dans les espaces ruraux désindustrialisés, estime, dans un entretien au « Monde », que l’un des ressorts du succès des fêtes organisées par Le Canon français est la « promotion d’un passé et de traditions qui parlent à des jeunes nostalgiques d’époques qu’ils n’ont pas connues ».
Selon le Parquet national antiterroriste, l’enquête est « étendue » à l’infraction d’association de malfaiteurs terroriste en vue de la préparation d’un crime contre les personnes.
Ce prix imaginé pour visibiliser la littérature lesbienne a distingué Fatima Daas pour « Jouer le jeu », Wendy Delorme pour « Le Parlement de l’eau », Nelly Slim pour « Entre ici et avant il y a la mer » et Sabrina Calvo pour « Mais cette vie-là demande toujours plus de lumière ».
Historiquement hostile aux particularismes régionaux, le parti d’extrême droite a scellé une alliance inattendue avec les identitaires corses de Mossa Palatina pour les municipales.
Inscrite à l’article 26 du projet de loi de financement de la Sécurité sociale, la mesure vise à lutter contre la hausse de cette pratique, qui peut être source de renoncement aux soins.
Considéré comme un péché de chair sous l’Ancien Régime et une atteinte à la morale publique après la Révolution, ce crime intime et familial a été toléré jusqu’au XXᵉ siècle.
La recette est toujours la même depuis 2021 : de grandes tablées, des produits du terroir, du vin, Sardou et Aznavour. Ce qui a changé, en revanche : ces banquets sont récemment passés sous le pavillon de Pierre-Edouard Stérin, milliardaire catholique réactionnaire. Des opposants dénoncent une « instrumentalisation » à des fins politiques.
Malgré un dispositif de sécurité renforcé, des fumigènes ont été introduits dans la salle Pierre-Boulez de la Philharmonie de Paris, jeudi 6 novembre. Trois hommes et une femme ont été placés en garde à vue.
Jugé à la fois terroriste et délirant, Abdallah Osman Ahmed, réfugié soudanais en proie à des problèmes psychiatriques, avait tué deux personnes et en avait blessé cinq autres. La cour d’assises spécialement composée de Paris lui a reconnu une altération du discernement. Sa peine est assortie d’une sûreté de vingt ans.
La juge des référés n’a pas retenu le critère d’urgence pour l’étudiant de l’institut d’études politiques de Paris accusé par la direction d’avoir participé à une action du Comité Palestine le 11 septembre 2025. Visé par une mesure d’éloignement pour une durée encore indéterminée, celui-ci nie avoir participé à la tentative de blocage.
Une commission consacrée à l’amélioration des conditions d’accueil au dépôt va par ailleurs être installée dès le 12 novembre. Des visites mensuelles seront organisées, pour « faire le maximum d’améliorations et de réparations possibles », a annoncé la présidente du tribunal, Anne Auclair-Rabinovitch.