Donald Trump n’est pas le premier dirigeant américain à lorgner la plus grande île du monde. C’est notamment sur cette histoire que revient Elizabeth Buchanan, spécialiste des enjeux géopolitiques, dans son livre « Alors, tu veux acheter le Groenland… »

Chargé par le Congrès de veiller sur l’emploi des fonds publics, le Sigar constate que Washington n’a pu apporter dans le pays ni la stabilité ni la démocratie, ses deux objectifs, malgré vingt-trois ans de présence, les centaines de milliards de dollars dépensés et 2 450 militaires tués.

Donald Trump peint l’Europe comme un continent « woke ». Pourtant, que ce soit sur l’environnement ou sur le plan migratoire, ses amis d’extrême droite influencent clairement les politiques mises en œuvre sur le continent, constate Pascal Riché, journaliste au « Monde », dans sa chronique.

Dans la vision du monde de Donald Trump, telle qu’exposée dans le document stratégique sur la sécurité des Etats-Unis, le véritable ennemi, c’est l’Union européenne, explique, dans sa chronique, Alain Frachon, éditorialiste au « Monde ».

Le président américain a défendu son bilan et multiplié les fausses informations, lors d’un discours à la nation diffusé à une heure de grande écoute, mercredi.

Le texte, porté par une élue de droite radicale et dans la droite ligne de l’obsession de Donald Trump pour les personnes transgenres, doit encore être approuvé par le Sénat. Il empêcherait les mineurs trans d’accéder aux soins d’affirmation de genre.

L’administration évoque des manquements de la part des pilotes de l’armée et des contrôleurs aériens dans cet accident survenu en janvier entre un avion de ligne et un hélicoptère militaire et qui avait fait 67 morts.

En proie à des sondages traduisant un certain scepticisme à l’égard de sa politique, le président américain s’est évertué, mercredi soir dans une allocution retransmise à la télévision, à décrire une Amérique en plein essor, tout en accablant son prédécesseur, Joe Biden, responsable d’une « invasion » d’immigrés.

Depuis le début de septembre, une centaine de personnes sont mortes dans ces opérations menées par Washington dans les Caraïbes ou l’est du Pacifique. En outre, les Etats-Unis ont annoncé l’envoi de troupes en Equateur pour une « opération temporaire » contre le narcotrafic.

Le célèbre studio a rejeté l’offre hostile de David Ellison, le propriétaire de Paramount, malgré les 108 milliards de dollars mis sur la table. Après calcul boursier, la proposition du géant du streaming serait plus élevée et son assise financière plus solide.

Alors que l’enquête piétine, la police mise sur l’aide du public et une récompense pour retrouver le ou les auteurs de l’attaque qui a tué deux étudiants et en a blessé neuf autres.

Le Sénat américain a approuvé la nomination du milliardaire et astronaute privé mercredi. Après onze mois d’intérim, l’agence spatiale américaine retrouve un administrateur permanent, mais ses plans pour la NASA ne font pas l’unanimité.

En s’en prenant à ses alliés européens, Donald Trump affaiblit également les pays du Sud, qui n’ont comme dénominateur commun que leur opposition aux puissances du Nord, observe dans sa chronique Gilles Paris, éditorialiste au « Monde ».

Le ministre de la défense vénézuélien a affirmé mercredi que l’armée n’était « pas intimidée » par les « menaces arrogantes » du président américain.

A la différence de Netflix, qui ne propose de racheter, pour l’essentiel, que le studio Warner Bros et la plateforme de streaming HBO Max pour 72 milliards de dollars, Paramount Skydance ambitionne acquérir l’ensemble de WBD. C’est sa sixième offre rejetée.

La professeure à Harvard, spécialiste des frontières symboliques et de la justice sociale, explique dans un entretien au « Monde » que la guerre culturelle menée par la nouvelle administration a une motivation économique : affaiblir tous ceux qui font obstacle à une société tournée vers le profit.

La décision américaine de geler une partie importante de son financement de l’Organisation des Nations unies précipite la refonte du système onusien, qui fait face à une crise de fonctionnement majeure.

Le flou demeure sur les intentions véritables du président américain, qui oscille entre lutte affichée contre les cartels de la drogue et l’immigration illégale et volonté de voir s’effondrer le régime vénézuélien, en le privant de ressources.

La police a précisé avoir reçu près de 200 « signalements exploitables » concernant le suspect dont une vidéo, le montrant coiffé d’un bonnet et le visage couvert d’un masque chirurgical, a été publiée.

Cette mesure vise à asphyxier l’économie de Caracas dont le pétrole, sous embargo mais vendu au marché noir, est la principale source de revenus.