A 95 ans, l’investisseur légendaire s’apprête à quitter la direction générale du conglomérat qu’il a bâti, Berkshire Hathaway. Dans une missive adressée lundi à ses actionnaires, il se livre à une leçon d’humilité, relève Isabelle Chaperon, chroniqueuse au service Economie du « Monde ».

S’il était voté, mercredi, par la Chambre des représentants, un projet de loi pourrait mettre fin au shutdown et rétablirait par la même occasion le financement intégral du programme alimentaire.

L’ancien djihadiste, qui a été détenu par l’armée américaine en Irak, a été reçu par Donald Trump. De la Maison Blanche à Fox News, en passant par le Congrès, il a défendu la levée définitive des sanctions pesant encore contre son pays.

La proposition de loi a été adoptée grâce au vote de huit sénateurs démocrates, suscitant la colère dans leur camp. Le texte doit maintenant être approuvé à la Chambre des représentants.

Depuis le 1ᵉʳ octobre et le début du blocage budgétaire, plus de 1 million de fonctionnaires ne sont pas payés, dont les contrôleurs aériens.

Les unions entre personnes gay ou lesbiennes sont garanties depuis 2015 par la Cour suprême, institution régulièrement appelée à trancher les grands débats de société dans le pays.

Le haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’homme a exhorté, lundi, Washington à enquêter sur la légalité de ses frappes, relevant de « solides indices » d’exécutions « extrajudiciaires ».

Ces grâces sont en grande partie symboliques, aucune des personnes identifiées n’étant accusée de crimes fédéraux, seuls concernés par la grâce présidentielle.

Alors qu’il reçoit, lundi, le président syrien par intérim, Ahmed Al-Charaa, il faut saluer le pari de Donald Trump en faveur d’une transition à la hauteur des défis gigantesques de la Syrie. Mais, pour qu’elle réussisse, le nouveau pouvoir à Damas a également besoin que soient levées au plus vite les sanctions drastiques qui pèsent sur lui.

Une meta-analyse publiée dans le « British Medical Journal » souligne que, si plusieurs études ont bien avancé un lien possible entre paracétamol et autisme ou TDAH, leur qualité est « faible » ou « extrêmement faible ».

Le président syrien, arrivé à la Maison Blanche par une entrée latérale, a obtenu une nouvelle pause de cent quatre-vingts jours de la loi « César », déjà suspendue en mai, qui soumettait la Syrie à des sanctions américaines draconiennes.

Le premier ministre, le chiite Al-Soudani, espère un second mandat, alors que le sort des milices pro-iraniennes est un sujet central de l’élection.

Laboratoire de la politique sécuritaire de Donald Trump, la ville du Tennessee vit depuis un mois sous le déploiement massif de la garde nationale. Tandis que la Maison Blanche se félicite de centaines d’arrestations, les habitants des quartiers noirs et latinos dénoncent une militarisation sans précédent, nourrie par la xénophobie.

Après quarante jours de blocage, huit sénateurs de l’opposition ont cédé, dimanche, et uni leurs voix à celles des républicains sur un texte devant mettre fin au blocage de l’Etat fédéral. Un choix décrié dans leur camp en raison de la faiblesse des concessions obtenues.

La Cour suprême des Etats-Unis a jeté de gros doutes sur la légalité de la mesure la plus emblématique du président américain. Les pays qui ont cédé à son chantage n’ont-ils pas confondu vitesse et précipitation ?, s’interroge, dans sa chronique, Stéphane Lauer, éditorialiste au « Monde ».

Le pays est, depuis le 1ᵉʳ octobre, en situation de paralysie budgétaire, ce qui a provoqué la fermeture de plusieurs services de l’Etat fédéral. Le texte, qui ne fait pas l’unanimité chez les démocrates, doit encore passer devant la Chambre des représentants, avant d’être soumis à Donald Trump pour signature.

Tim Davie, le directeur général du groupe audiovisuel britannique, et Deborah Turness, à la tête de BBC News, ont annoncé leur départ dimanche, après les révélations du « Daily Telegraph » mettant en évidence un montage des propos du président américain dans un documentaire consacré à l’assaut du Capitole, en 2021.

Ahmed Al-Charaa doit être reçu, lundi 10 novembre, à la Maison Blanche par Donald Trump. La visite du dirigeant syrien a lieu au lendemain de son retrait de la liste noire américaine du terrorisme, dans la foulée de la levée des sanctions contre M. Charaa par le Conseil de sécurité de l’ONU.

Le recours aux visuels de mauvais goût générés par intelligence artificielle est désormais devenu la norme pour le président des Etats-Unis et son administration.

L’interdiction, levée pour un an, concerne le gallium, le germanium et l’antimoine. Ce dossier était devenu un sujet de contentieux entre Pékin et Washington.