Depuis son retour au pouvoir, le président américain tente une nouvelle approche censée servir les intérêts économiques des Etats-Unis et ceux du continent africain, pourtant peu épargné par la politique du chef de l’Etat.
Le pays d’Asie du Sud-Est, ultra-dépendant aux exportations vers les Etats-Unis, échappe à des droits de douane supplémentaires de 46 %, dont il était menacé depuis le 2 avril. L’accord trouvé avec l’administration Trump prévoit une surtaxe douanière de « seulement » 20 %.
Dans une tribune au « Monde », l’universitaire Marlène Laruelle explique comment, depuis les radios des années Reagan jusqu’aux algorithmes d’aujourd’hui, la droite radicale a méthodiquement développé un écosystème médiatique diversifié.
Après trois mois de négociations mouvementées, les Etats-Unis s’apprêtent à dévoiler, d’ici au 9 juillet, des accords commerciaux avec les principaux pays partenaires. Mais l’annonce des hausses tarifaires, suivie de nombreux revirements, a commencé à saper les bases de la croissance mondiale.
Le magnat de la musique a été reconnu non coupable de trafic sexuel et d’association de malfaiteurs, mais coupable de transport de personnes à des fins de prostitution. La demande de libération conditionnelle dans l’attente de la sentence a été refusée.
Les grandes villes seront plus vulnérables aux bombardements russes en raison du gel de l’aide américaine sur les défenses antiaériennes les plus cruciales. Les Européens ne sont pas en mesure de combler rapidement le vide laissé dans l’arsenal de Kiev.
Sean Combs était accusé d’avoir forcé des femmes à se livrer à des marathons sexuels avec des hommes prostitués. Et aussi d’avoir mis en place un réseau criminel, dont il aurait été à la tête, pour organiser ces séances. Sa demande de libération conditionnelle a été refusée mercredi par le juge.
Le secrétaire d’Etat américain à la santé vient de bouleverser totalement le comité national d’experts sur la vaccination, en y nommant des personnalités sans compétences en la matière et, pour certaines, antivax. Dans une tribune au « Monde », un collectif d’experts français s’inquiète des répercussions de cette décision.
L’accord de paix négocié, vendredi 27 juin, entre le Rwanda et la République démocratique du Congo par les Etats-Unis a plus à voir avec l’intérêt de Washington pour les minerais critiques et sa rivalité avec la Chine qu’avec la paix en Afrique, rappelle, dans sa chronique, Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde ».