Amnesty International accuse les autorités américaines d’utiliser des outils développés par les entreprises Babel Street et Palantir, « qui permettent un suivi, une surveillance et une évaluation de masse constants ».
Cette exemption était réclamée par la France et l’Italie. « Malheureusement, nous n’avons pas réussi », a déclaré le commissaire européen au commerce, Maros Sefcovic.