Les sénateurs, qui ont commencé à examiner le texte en commission ce lundi 24 novembre, repartent de la copie initiale du gouvernement. Le PLF arrivera dans l’hémicycle de la chambre haute jeudi.
L’unique offre de reprise du fabricant de cœur artificiel émane de ses deux actionnaires historiques. Elle passe néanmoins par un plan de licenciement et un retrait de la Bourse de Paris.
L’ancien chef du gouvernement socialiste revient sur la création du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi et déplore l’absence de chiffrage et d’évaluation des multiples aides destinées aux entreprises.