Rémunérés pour accompagner des personnes âgées ou handicapées en perte d’autonomie, ces accueillants ne sont pas reconnus comme des travailleurs. Alors que leur nombre est en baisse depuis une dizaine d’années, ils souhaitent une redéfinition de leur statut.
Cette école atypique installée depuis 2019 dans la friche la Belle-de-Mai s’efforce de reconnecter des décrocheurs de la vie et des études. Mais ses financements pourraient s’arrêter, mettant en péril son avenir.