Le jeune homme, qui souhaitait s’en prendre à des femmes, a été mis en examen et écroué mardi soir. C’est la première fois que le Parquet national antiterroriste est saisi dans une affaire de masculinisme revendiqué.

Neuf femmes ménopausées sur dix n’ont jamais parlé de cette étape physiologique à leur manager ou collègue masculin, selon une enquête OpinionWay, commandée par Astellas Pharma France, publiée ce mardi 2 juillet. Certaines rapportent avoir manqué une promotion et même quitté leur emploi.

Le magnat du hip-hop américain était accusé d’avoir poussé des anciennes compagnes à participer sans leur consentement à des marathons sexuels. Il a néanmoins été déclaré coupable de transport de personnes à des fins de prostitution.

Nathalie Soria, vice-présidente de la Fédération française des infirmières diplômées d’Etat coordinatrices, rappelle que les activités, les repas, l’hydratation, ainsi que les vêtements des résidents doivent être adaptés en période de canicule.

En cette cinquième et ultime semaine d’audience, le principal accusé a exposé, devant la cour d’assises spéciale de Paris, avoir longuement mûri son projet, animé tant par l’idéologie jihadiste que sa haine du système carcéral. Ses co-accusés ont contesté en eu avoir une quelconque connaissance.

Poursuivi pour avoir déclaré que les délinquants sur le sol français étaient soit des «immigrés» soit des «enfants d’immigrés», le président du parti Reconquête a été relaxé, ce mercredi 2 juillet, par la justice.

Mardi 1er juillet, les salariés américains étaient invités à marquer leur solidarité avec les migrants menacés d’expulsion en déposant une journée de repos sous prétexte médical.

La présence d’écrans à l’intérieur des crèches ou chez les assistantes maternelles est, avec la publication d’un arrêté publié par la ministre de la Santé Catherine Vautrin au «Journal officiel» ce mercredi 2 juillet, désormais prohibée.

Pour protéger les SDF, mis en danger par les vagues de chaleur, la capitale a tenté cette année de mettre en place un «Plan grand chaud», sur le modèle du «Plan grand froid». Mais les élus dénoncent l’inaction et le manque d’anticipation de l’Etat.

La commission d’enquête sur les violences scolaires publie ce mercredi 2 juillet un rapport accablant. Il met en lumière une culture du silence qui perdure et des défaillances majeures dans la prévention et le signalement, surtout dans les établissements privés sous contrat.

Le document de la commission, rendu public ce mercredi 2 juillet, consacre 63 pages à l’établissement catholique béarnais visé par de nombreuses plaintes d’anciens élèves. Il révèle en détail les mécanismes d’un système d’omerta, les défaillances institutionnelles et politiques – dont celles de l’actuel Premier ministre – qui ont permis aux violences de durer.

Vanté par le gouvernement comme un bon levier pour dynamiser les chefs-lieux de canton de moins de 20 000 habitants, le dispositif pâtit de trop maigres budgets.

La petite ville s’est lancée il y a cinq ans, avec des acteurs associatifs, dans une opération d’amélioration de l’habitat et de renouvellement urbain afin de regagner en attractivité, après une longue érosion démographique.

De Paris à Créteil, travailleurs exposés à la fournaise ou passants réfugiés dans des endroits frais racontent leur galère.

Des chercheurs espagnols ont mis en évidence la présence de ces particules chimiques dans les fluides reproducteurs humains. Potentiellement nocives pour la fertilité, on les trouve dans les follicules de 69 % des femmes et le sperme de 55 % des hommes.

La préfecture s’est voulue rassurante ce mardi 1er juillet au soir, même si quatre personnes restent hospitalisées. La procureur Laure Beccuau a pour sa part dit attendre «vraisemblablement mercredi» le séquençage du génome.

L’épisode de forte chaleur a atteint mardi 1er juillet son pic, avec pour la première fois depuis cinq ans la vigilance rouge en Ile-de-France. A partir de mercredi 6 heures, cela ne concernera plus que l’Aube, l’Yonne, le Cher et le Loiret.

Le ministère a mis en demeure ce mardi 1er juillet l’établissement à la suite d’une inspection de l’académie de Paris. Des recommandations avaient été formulées en juillet 2023 après des accusations de dérives homophobes et sexistes.