Selon le baromètre 2025 publié par l’Observatoire de la qualité de vie au travail, plus d’un salarié sur deux souligne un déficit important sur la prévention du stress et de l’épuisement professionnel et plus d’un sur trois se plaint de sa charge de travail relève, dans sa chronique, la journaliste du « Monde » Anne Rodier.
Des éducateurs du foyer Jenner dans le 13ᵉ arrondissement de Paris ont rasé un enfant de 8 ans, en février, en guise de « sanction ». Puis ils ont diffusé et commenté les images sur un groupe WhatsApp. L’association Jean-Cotxet, qui gère les lieux, affirme n’avoir été informée de l’intégralité des faits qu’en septembre.
L’avocat François Saint-Pierre avance, dans un nouvel ouvrage, 36 pistes afin de réformer en profondeur la justice. Ses propositions viennent relancer un débat nécessaire et pourtant oublié.
L’enquête a établi que l’une des deux agentes administratives, dont l’ex-petit ami est le cousin d’un homme présenté par la police judiciaire comme le patron de la DZ Mafia, avait été rétribuée pour la consultation illicite de fichiers.
Le directeur de l’agence européenne créée pour renforcer la réponse face aux enjeux liés aux drogues et aux addictions dresse un état des lieux de la lutte contre les stupéfiants face à un narcotrafic « plus visible et plus violent ».
Cette année, quatre traitements font leur entrée dans cette liste couvrant un large champ, de la gynécologie à la pneumologie. Ces médicaments « exposent à des effets indésirables disproportionnés », estime la revue.
La justice cherche à cerner le rôle du Libanais, considéré comme une source de très haut niveau par les services antidrogue français et américains depuis vingt ans, dans le scandale qui éclabousse l’office anti-stupéfiants de Marseille. Sa cinquième demande de remise en liberté sera examinée mercredi.
Selon la Ville de Paris, ces faits « gravissimes » se sont déroulés en février 2025 au foyer éducatif Jenner, géré par l’association Jean-Cotxet, dans le 13ᵉ arrondissement de Paris.
L’ancien parlementaire a reconnu devant le tribunal un détournement d’une partie de son enveloppe de frais de mandat pour des dépenses personnelles. Il a reçu une peine de dix mois de prison avec sursis, assortie d’une amende et de cinq ans d’inéligibilité.
Il était soupçonné d’avoir appelé à la haine dans des vidéos sur TikTok, notamment à « brûler vif, tuer et violer sur le sol français », selon une première traduction de ses propos. Il encourait sept ans d’emprisonnement, mais une nouvelle expertise avait démontré par la suite que ces propos n’apparaissaient pas dans la vidéo.