Environ 6 200 personnes sont rassemblées samedi après-midi à Marseille à l’appel de l’association fondée par le militant écologiste Amine Kessaci, Conscience, pour venir en aide aux familles de victimes de narchomicides.
En France chaque jour, plus de trois femmes sont victimes de féminicide ou tentative de féminicide conjugal, un chiffre en hausse sur un an, selon les données de la Mission interministérielle pour la protection des femmes (Miprof).
Selon les derniers chiffres officiels publiés par le ministère, le nombre de féminicides conjugaux a augmenté de 11 % entre 2023 et 2024, avec 107 femmes tuées par leur conjoint ou ex-conjoint.
Environ 6 200 personnes se sont rassemblées samedi après-midi à Marseille à l’appel de l’association fondée par le militant écologiste Amine Kessaci, Conscience, pour venir en aide aux familles de victimes de narchomicides.
Les 130 citoyens tirés au sort pour participer à cette convention, la troisième voulue par Emmanuel Macron, rendront leur rapport, dimanche 23 novembre, à l’issue d’une septième et dernière session de travail au Conseil économique, social et environnemental. Cinq participants nous ont raconté leur expérience.
Dans une tribune au « Monde », la spécialiste de l’antimafia et des mafias italiennes souligne la nécessité à faire de la lutte contre le narcotrafic un combat collectif, et encourage la société française à s’inspirer de l’engagement des citoyens italiens dans les mouvements antimafia.
Bourses, objectifs, autonomie, moyens… Dans un entretien au « Monde », le ministre se positionne sur de nombreux dossiers. Il se défend par ailleurs d’avoir exercé une quelconque pression pour faire annuler un colloque sur la Palestine au Collège de France, à la mi-novembre.
Les établissements de la Santé, à Paris, de Rennes, Dijon, Toulouse, Toulon et d’Arras choisis pour ce plan annoncé par le garde des sceaux, Gérald Darmanin, vendredi 21 novembre, sont particulièrement perméables au trafic.
Une marche blanche a lieu samedi en l’honneur du jeune homme assassiné à Marseille. Pour l’heure, les services d’enquête ne ferment aucune porte, et les investigateurs essaient d’identifier le commando de tueurs. La piste d’un commanditaire en prison fait partie des scénarios « privilégiés ».
L’artiste est accusé avec trois autres personnes d’avoir séquestré, violenté et humilié un jeune admirateur qui aurait voulu le photographier à son domicile dans la commune du Pin, en Seine-et-Marne, le 6 novembre.
En juin 1945, dans un manoir de l’Eure, 426 enfants libérés du camp allemand ont renoué avec la vie. Un réapprentissage d’autant plus difficile que ces rescapés, originaires d’Europe de l’Est, ignoraient tout de la France. Certains d’entre eux ont témoigné, le 12 novembre, lors d’un colloque à l’Assemblée nationale.