Le site de la Ville précise qu’il faut d’abord « acheter un monument funéraire (…) en s’engageant à le restaurer à l’identique » puis, « s’engager à acquérir une concession funéraire sous le monument ».
Des crimes de « persécution » et de « ségrégation » sont également dénoncés par les avocats de M. Hamouri, interdit de séjour sur le territoire où il est né et a grandi. Une première plainte, déposée en 2024 pour « torture » durant ses détentions administratives en Israël, est déjà en cours d’instruction.