Dans le viseur du premier ministre hongrois Viktor Orbán depuis 2011, les minorités sexuelles n’ont cessé de voir leurs droits bafoués. Le vote d’une loi rendant illégale la Marche des fiertés et l’inscription dans la Constitution des seuls genres masculin et féminin, ont été la goutte d’eau qui a fait descendre dans les rues de Budapest des milliers de manifestants.