Retailleau a trouvé une nouvelle cible : les free-parties. Ces fêtes autogérées, déjà largement stigmatisées, pourraient bientôt valoir jusqu’à six ans de prison à leurs organisateurs.
Alors que le vote de confiance approche, François Bayrou — toujours Premier ministre, pour l’instant — a multiplié les passages médias pour défendre un budget d’austérité.