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08.12.2025 à 11:32

Guerre en Ukraine : à Londres, Volodymyr Zelensky en quête d'un nouvel appui européen face au plan de paix américain

Florian Chaaban

"La chorégraphie connaît quelques variations, mais elle commence à être bien rodée", attaque Le Parisien. "Confronté à une forte pression de la part de l'administration Trump pour accepter un plan de paix à l'avantage de la Russie, le président ukrainien cherche le soutien de ses alliés européens, désireux d'avoir leur mot à dire s'agissant d'une […]

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Texte intégral (1959 mots)
Mis sous pression par Donald Trump, Volodymyr Zelensky rencontre ce lundi à Londres, le Premier ministre britannique Keir Starmer (à gauche), le président français Emmanuel Macron et le chancelier allemand Friedrich Merz (au second plan) pour faire le point sur "les négociations en cours dans le cadre de la médiation américaine" - Crédits : Number 10 / Flickr CC BY-NC-ND 4.0
Mis sous pression par Donald Trump, Volodymyr Zelensky rencontre ce lundi à Londres le Premier ministre britannique Keir Starmer (à gauche), le président français Emmanuel Macron et le chancelier allemand Friedrich Merz (au second plan) pour faire le point sur "les négociations en cours dans le cadre de la médiation américaine" - Crédits : Number 10 / Flickr CC BY-NC-ND 4.0

"La chorégraphie connaît quelques variations, mais elle commence à être bien rodée", attaque Le Parisien. "Confronté à une forte pression de la part de l'administration Trump pour accepter un plan de paix à l'avantage de la Russie, le président ukrainien cherche le soutien de ses alliés européens, désireux d'avoir leur mot à dire s'agissant d'une guerre se déroulant sur leur continent".

Pour tenter d'accélérer les choses, Volodymyr Zelensky "revoit ce lundi à Londres ses alliés européens Keir Starmer, Emmanuel Macron et Friedrich Merz, au moment où Donald Trump lui reproche de ne 'pas avoir lu' sa proposition de règlement du conflit, objet de tractations séparées avec Moscou et Kiev" [Le Figaro].

Réaffirmer un message d'unité

Cette réunion vise d'abord "à faire le point sur les négociations en cours dans le cadre de la médiation américaine" [La Provence]. Il s'agit aussi de continuer à faire front commun face à la Russie. "Nous devons continuer à faire pression sur la Russie pour la contraindre à la paix", a écrit samedi 6 décembre sur X Emmanuel Macron [Midi Libre], "réitérant son 'soutien indéfectible' à Kiev et condamnant 'avec la plus grande fermeté' les nouvelles frappes qui ont ciblé l'Ukraine".

Au même moment, "la cheffe de la diplomatie britannique Yvette Cooper est attendue à Washington pour rencontrer son homologue américain Marco Rubio, dans le cadre d'intenses efforts diplomatiques pour tenter de mettre fin à la guerre en Ukraine déclenchée par l'invasion russe du 24 février 2022" [La Provence].

"Le Royaume-Uni et les États-Unis réaffirmeront leur engagement à parvenir à un accord de paix en Ukraine", a déclaré le ministère des Affaires étrangères à Londres en annonçant la visite de Mme Cooper [The Guardian].

Des négociations de paix qui peinent à avancer

"Ces rencontres suivent des réunions [ce week-end] à Miami (Floride), entre responsables ukrainiens et américains, autour du plan qu'a dévoilé Donald Trump il y a trois semaines et censé trouver une issue à la guerre. Depuis, les puissances européennes alliées de Kiev tentent de faire entendre leur voix" [Le Monde].

"En relançant les discussions en novembre, Washington a écarté les Européens, l'équipe choisie par le président Trump jouant seule le rôle de médiateur entre Moscou et Kiev", rappelle Le Parisien

Si les lignes ont du mal à bouger, Volodymyr Zelensky a toutefois "assuré [samedi] avoir eu une conversation téléphonique 'substantielle et constructive' avec les émissaires américains Steve Witkoff et Jared Kushner et ses propres négociateurs dépêchés en Floride", observe Le Figaro. "Les questions clés qui pourraient garantir la fin de l'effusion de sang et le risque que la Russie ne tienne pas ses promesses ont été abordées", a indiqué le président ukrainien.

"De son côté, la diplomatie américaine a annoncé ce week-end s'être entendue avec l'Ukraine pour affirmer que 'tout progrès réel vers un accord dépendait de la volonté de la Russie de s'engager sérieusement en faveur d'une paix durable'" [Le Monde].

Donald Trump maintient la pression sur Volodymyr Zelensky

En dépit de cette "entente", la menace américaine continue de planer. "Le président des États-Unis Donald Trump a reproché dimanche soir à son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky de n'avoir 'pas lu la proposition' de paix sur l'Ukraine dévoilée par Washington et qui fait l'objet de pourparlers séparés avec Moscou et Kiev" [La Croix].

"Nous avons discuté avec le président Poutine et avec les dirigeants ukrainiens, y compris le président Zelensky. […] Et je dois dire que je suis un peu déçu que [ce dernier] n'ait pas encore lu la proposition", a déclaré le Républicain [The Kyiv Independent]. Il a aussi rappelé que la Russie "[était] d'accord" avec la proposition américaine.

Pour l'heure, Moscou, "convaincu d'être en position de force, n'a montré aucune volonté de transiger sur ses objectifs maximalistes. Sur le front, le grignotage se poursuit, sans que rien ne semble pouvoir l'enrayer", écrit Le Parisien.

Alors que les États-Unis ne cessent de souffler le chaud et le froid sur ce conflit qui s'éternise, "les législateurs américains ont dévoilé le 7 décembre un projet de loi [qui] réautoriserait l'utilisation de l'Initiative d'aide à la sécurité de l'Ukraine (USAI), un programme dirigé par le Pentagone qui fournit des armes à l'Ukraine par le biais de contrats avec des entreprises américaines du secteur de la défense", avance The Kyiv Independent dans un autre article. Sur un total de "900 milliards de dollars" consacrés à la défense, ce projet de loi "[allouerait] 400 millions de dollars par an à Kiev pour les exercices 2026 et 2027".

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05.12.2025 à 12:34

L'Union européenne s'accorde sur l'autorisation de "nouveaux OGM"

Lou Caubet

"Une victoire majeure pour les grands semenciers et l’agro-industrie", annonce Le Monde. "Le Parlement et les États membres se sont mis d’accord dans la nuit de mercredi à ce jeudi 4 décembre autour des plantes issues des nouvelles techniques génomiques", rapporte Libération. Le compromis franchit "la ligne d'arrivée avec l'aide de l'extrême droite du Parlement européen", […]

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Texte intégral (1900 mots)
Les premiers organismes génétiquement modifiés ont été commercialisées dans les années 1990 aux États-Unis - Crédits : didesign021 / iStock

"Une victoire majeure pour les grands semenciers et l’agro-industrie", annonce Le Monde. "Le Parlement et les États membres se sont mis d’accord dans la nuit de mercredi à ce jeudi 4 décembre autour des plantes issues des nouvelles techniques génomiques", rapporte Libération. Le compromis franchit "la ligne d'arrivée avec l'aide de l'extrême droite du Parlement européen", précise Politico.

Pour les institutions européennes, le règlement "vise à améliorer la compétitivité du secteur agroalimentaire et à uniformiser les règles pour les producteurs européens, tout en renforçant la sécurité alimentaire et en réduisant la dépendance aux importations" [RFI]. Cette simplification était notamment "réclamée par la puissante organisation agricole Copa-Cogeca, comme par les grands semenciers, au nom de la compétitivité européenne face aux États-Unis et à la Chine, qui autorisent les NTG" [Libération].

Autre argument avancé par les promoteurs de ces technologies : "leur capacité à produire plus vite de nouvelles variétés à même, notamment, de s’adapter aux changements climatiques, à des conditions environnementales particulières, de consommer moins d’engrais" [Le Monde]. Car le réchauffement climatique soumet les cultures "à davantage d'aléas, comme des vagues de chaleur plus longues […], des sécheresses plus importantes ou encore des inondations plus fréquentes" [France Info].

Dérégulation des OGM

"Contrairement aux OGM classiques", les NTG "n'impliquent pas l'ajout de gènes étrangers", explique RTL. "Les chercheurs modifient directement le génome des plantes comme le blé ou le maïs pour améliorer leur résistance à des conditions climatiques difficiles, comme la sécheresse".

Depuis un arrêt de la Cour de justice de l'UE en 2018, ces techniques sont classées "dans la catégorie des OGM, tous interdits à la culture, à l’exception du maïs Monsanto 810, cultivé […] en Espagne et au Portugal" [Libération]. Mais avec l'accord de la nuit dernière, elles "seront considérées comme équivalentes aux variétés conventionnelles", donc vendues librement [Libération].

Le compromis pose néanmoins certaines limites : "seules les plantes ayant subi un nombre limité de mutations seront dérégulées" [Le Monde]. Il interdit également l'utilisation de NTG "résistantes aux herbicides ou encore dans l’agriculture biologique", rapporte Ouest-France. Enfin, leur présence devra être mentionnée "sur les sacs de semences achetés par les agriculteurs, mais pas dans l’étiquetage du produit final" [La France agricole].

Des oppositions vent debout

"Le débat sur ces biotechnologies est tendu en Europe", résume Libération. "Des organisations environnementales et le secteur de l’agriculture biologique dénoncent […] une pente dangereuse qui pourrait faire 'courir des risques majeurs pour notre agriculture et notre alimentation'".

En cause notamment : "le manque d’évaluation des risques pour la santé humaine et l’environnement, ou encore le risque de confiscation des semences par des brevets onéreux de quelques multinationales", au détriment des petits agriculteurs [Ouest-France]. De quoi entraîner "un appauvrissement de la diversité génétique des variétés cultivées, une dépendance accrue des agriculteurs et une augmentation du prix des semences", dans un secteur "dominé par une demi-douzaine de poids lourds comme Corteva, Bayer ou Syngenta" [Le Monde].

Au sein du Parlement européen, les divisions sont fortes. "On joue aux apprentis sorciers, on enlève aux consommateurs leur liberté de choix", dénonce le socialiste Christophe Clergeau [La France agricole].  À droite en revanche, la rapporteure PPE Jessica Polfjärd s’est réjouie d'une "avancée majeure" [Libération]. Tandis que chez les libéraux, Pascal Canfin (Renew Europe) salue une "excellente nouvelle", avec "davantage de solutions pour lutter contre les pénuries d’eau, la sécheresse, la hausse des températures" [Le Monde].

"Ardemment soutenu par le Danemark, qui occupe la présidence tournante de l’Union européenne jusqu’à fin décembre, [l'accord] doit désormais être approuvé une dernière fois par les États membres et le Parlement européen, pour entrer en vigueur" [Libération].

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04.12.2025 à 12:27

Emmanuel Macron en Chine : un déplacement stratégique face à la situation en Ukraine et aux enjeux économiques

Agathe Grinon

Présent depuis mercredi à Pékin, "Emmanuel Macron appelle à 'dépasser' les désaccords avec la Chine lors de sa visite d'État", titre France info ce jeudi 4 décembre. Les points de friction suggérés sont pourtant clairs : "la guerre en Ukraine et le déséquilibre commercial entre l’Europe et la Chine" [Ouest-France]. Lors de leur rencontre, ce […]

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Emmanuel Macron et Xi Jinping durant une précédente rencontre le 6 mai 2024 à Paris. Sources : Commission européenne
Emmanuel Macron et Xi Jinping lors d'une précédente rencontre le 6 mai 2024 à Paris - Crédits : Christophe Licoppe / Commission européenne

Présent depuis mercredi à Pékin, "Emmanuel Macron appelle à 'dépasser' les désaccords avec la Chine lors de sa visite d'État", titre France info ce jeudi 4 décembre. Les points de friction suggérés sont pourtant clairs : "la guerre en Ukraine et le déséquilibre commercial entre l’Europe et la Chine" [Ouest-France].

Lors de leur rencontre, ce jeudi, Emmanuel Macron a appelé Xi Jinping à dépasser leurs différends. "Nous avons parfois des désaccords, mais nous avons la responsabilité de savoir les dépasser, de trouver des mécanismes de coopération", a déclaré le président français [Le Monde]. Son homologue chinois a lui souligné sa volonté de coopérer avec la France pour "écarter toute interférence et rendre le partenariat stratégique général entre la Chine et la France plus stable", rapporte La Dépêche.

L'Ukraine au cœur des discussions franco-chinoises

La guerre en Ukraine apparaît comme un fil rouge récurrent des échanges entre les deux chefs d'État. "Lors de son précédent voyage à Pékin en 2023, Emmanuel Macron avait appelé Xi Jinping à ramener la Russie à la raison" [Le Monde]. Une demande réitérée ce jeudi, poursuit le journal du soir : "nous devons continuer à nous mobiliser en faveur de la paix et de la stabilité dans le monde. Et de l’Ukraine aux différentes régions du monde qui sont touchées par la guerre, la capacité que nous avons à œuvrer ensemble est déterminante", a appuyé le président français "à l'issue d’un entretien restreint et avant des discussions en format élargi".

Néanmoins, le président chinois "a refusé toute responsabilité dans la guerre qui fait rage en Europe", constate L'Express. Bien qu'il ait déclaré que "la Chine soutient tous les efforts pour la paix et continuera à jouer un rôle constructif pour une solution à la crise", il a aussi tenu à s'opposer "fermement à toute tentative irresponsable visant à rejeter la faute ou à diffamer quiconque" [Huffington Post].

Le différend autour de la guerre en Ukraine reste profond car "l’Europe voudrait voir la Chine user de son influence pour mettre fin à la guerre à ses portes", explique Libération. "La Chine assure constamment vouloir la paix, mais elle n’a jamais condamné l’invasion de l'Ukraine par la Russie en février 2022". "Partenaire économique et politique primordial de la Russie, elle est le premier pays acheteur de combustibles fossiles russes au monde. Certains Européens l'accusent de fournir des composants militaires à Moscou", précise le média français.  

Emmanuel Macron entend ainsi profiter "de son moment privilégié avec Xi Jinping, vendredi à Chengdu, pour revenir à la charge sur le dossier ukrainien", après avoir fait "face à une Chine intransigeante" sur le sujet, notent Les Echos.

La balance commerciale toujours source de crispations

Le président français a également profité de cette visite pour appeler "à des 'investissements croisés' pour rééquilibrer la relation commerciale entre les deux pays", relate France info. "Emmanuel Macron entendait aborder des pratiques commerciales chinoises jugées déloyales, des voitures électriques à l'acier" [L'Express].

Aujourd'hui, "la relation entre la Chine et l'Europe est caractérisée par un déficit commercial massif (357,1 milliards de dollars) en défaveur de l'UE", rappelle France 24. "Un conseiller du président français évoquait à la veille de la visite le risque de devoir 'fermer les marchés', déjà très secoués par la guerre des droits de douane engagée par le président américain Donald Trump" [Ouest France].

Emmanuel Macron est ainsi arrivé mercredi soir, accompagné "par 35 dirigeants de grands groupes (Airbus, EDF, Danone…) et d’entreprises familiales, du luxe à celui de l’agroalimentaire, et devait assister à la signature d’un certain nombre de contrats" [Le Monde].

"Les deux dirigeants ont signé 12 accords de coopération à la suite de leurs entretiens, couvrant le vieillissement de la population, les investissements bilatéraux [ou encore] l’énergie nucléaire", mais certains analystes "affirment que des contraintes politiques importantes pèsent [encore] sur leur partenariat" [Reuters].

Un constat également valable au niveau européen. Toujours selon l'agence de presse anglophone, l'UE a notamment "annoncé mercredi [3 décembre] de nouvelles [mesures]  de sécurité économique visant à réduire la dépendance du bloc vis-à-vis de la Chine". Les Européens "pressent aussi pour un meilleur accès aux métaux rares, dont la Chine domine la production et la transformation mondiales, levier dont elle a fait en 2025 un usage qui a ébranlé les chaînes d’approvisionnement de la planète" [Le Monde].

"La Chine, pour sa part, souhaite apaiser les tensions commerciales avec les 27 pays membres de l'UE concernant son industrie des véhicules électriques fortement subventionnée, tout en se présentant comme un partenaire commercial fiable et un marché alternatif aux États-Unis", écrit Reuters. Des ambitions mutuelles encore à concrétiser.

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