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01.12.2025 à 11:19

Guerre en Ukraine : Volodymyr Zelensky en quête de soutien à Paris, les négociations sur un plan de paix s'accélèrent

Florian Chaaban

"Le temps semble s'accélérer : pendant que des émissaires américains sont aujourd'hui en route pour la Russie afin d'échanger avec Vladimir Poutine, Emmanuel Macron, lui, reçoit Volodymyr Zelensky à Paris", entame Le Parisien. "En dix jours, depuis la révélation d'un plan de paix américain largement favorable aux intérêts de la Russie, la situation s'est décantée". […]

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Texte intégral (2031 mots)
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky est en France ce lundi 1er décembre pour la dixième fois depuis le début du conflit entre Kiev et Moscou - Crédits : Commission européenne
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky (ici le 4 septembre dernier) est en France ce lundi 1er décembre pour la dixième fois depuis le début du conflit entre Kiev et Moscou - Crédits : Commission européenne

"Le temps semble s'accélérer : pendant que des émissaires américains sont aujourd'hui en route pour la Russie afin d'échanger avec Vladimir Poutine, Emmanuel Macron, lui, reçoit Volodymyr Zelensky à Paris", entame Le Parisien. "En dix jours, depuis la révélation d'un plan de paix américain largement favorable aux intérêts de la Russie, la situation s'est décantée".

"La semaine qui s'ouvre s'annonce cruciale pour l'Ukraine", a affirmé ce lundi 1er décembre la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas, avant de participer à une réunion des ministres de la Défense de l'UE à Bruxelles [RTBF].

Des négociations constructives sous le soleil de Floride

"Le président américain Donald Trump [avait] ordonné à son équipe de relancer les négociations afin de trouver une solution au conflit armé qui dure depuis près de quatre ans", relate El País.

Dirigée par le secrétaire du Conseil national de sécurité et de défense, Rustem Umerov, la délégation ukrainienne a échangé dimanche 30 novembre avec "le secrétaire d'État américain Marco Rubio [ainsi que] l'envoyé spécial [de Donald Trump sur l'Ukraine], Steve Witkoff" [The Kyiv Independent]. Une rencontre en Floride que Marco Rubio a qualifiée de "'très productive', ajoutant que les discussions avaient porté à la fois sur les conditions de fin de la guerre et sur la 'prospérité à long terme' de l'Ukraine", poursuit le média ukrainien.

Malgré cette évolution, beaucoup reste à faire. "Les deux plus importants sujets non tranchés demeurent la question territoriale – et un retrait ukrainien de la partie de la région de Donetsk encore sous son contrôle, rejeté par le président ukrainien, Volodymyr Zelensky – et celle des garanties de sécurité qui seraient offertes à Kiev, en réassurance face à l'hypothèse d’une future agression russe", rappelle Le Monde.

"S'il n'appartient qu'à l'Ukraine d'accepter ou non de renoncer à ses territoires, ces négociations doivent aussi viser à garantir son indépendance et son intégrité. Plus elle aura les moyens d’assurer sa souveraineté et moins l'Europe sera fragilisée" [Sud Ouest].

L'Ukraine en pleines turbulences

D'autant que le pays de Volodymyr Zelensky est fragilisé. "En coulisses, [son] chef de cabinet, Andriï Iermak, [a été] poussé à la démission [vendredi 28 novembre], accusé de corruption", écrit Le Parisien, mettant en avant la chute d'un "des plus proches du président ukrainien". En cause : le détournement d'environ 100 millions de dollars (soit environ 86 millions d’euros) des entreprises énergétiques publiques du pays.

Selon Donald Trump, "Kiev n’est pas en position de force" [Le Figaro]. "Le président américain a en effet jugé dans une série de déclarations à bord de son Air Force One dimanche 30 novembre que le vaste scandale de corruption en Ukraine 'n'aide pas' les négociations de paix", complète le quotidien national.

Si les négociations menées en Floride n'ont pas accouché d'annonce majeure, le milliardaire américain y voit néanmoins de "bonnes chances de parvenir à un accord pour mettre fin à la guerre en Ukraine" [The Guardian]. Car ces échanges constituaient jusqu'alors "la dernière étape en date de deux semaines d’intense activité diplomatique", retrace la BBC.

Or comme l'observe The Financial Times, "la plus grande question qui pèse sur les négociations entre les États-Unis et l'Ukraine est [désormais] de savoir comment toute proposition finalisée entre eux pourrait être acceptée par les Russes, qui ont maintenu une position maximaliste et ont exprimé leur confiance dans le fait qu'ils détiennent l'initiative sur le champ de bataille". "Vladimir Poutine s'est montré ouvert à un accord, mais uniquement s'il est conclu selon son calendrier et ses conditions".

Les Européens sur le pont

"Les Européens y sont dorénavant rompus. Leur devoir diplomatique consiste à ne pas provoquer de rupture transatlantique, mais à tout faire pour tirer l'administration américaine par la manche, afin de la ramener vers des positions plus favorables à la victime de l’agression russe" [Le Monde]. Surtout, "les alliés de Kiev sur le Vieux Continent parient sur l'impatience de Donald Trump à l'égard du chef du Kremlin", ajoute le journal du soir.

C'est dans ce contexte, et alors que les heures semblent comptées, qu'Emmanuel Macron accueille ce lundi son homologue ukrainien à Paris. Leur deuxième entrevue en l'espace de quinze jours. "Les deux dirigeants [doivent échanger] sur la situation et sur les conditions d'une paix juste et durable, dans la continuité des discussions de Genève et du plan américain et d'une concertation étroite avec nos partenaires européens", a fait savoir la présidence française [France info].

Le président Zelensky "dispose de toute la légitimité pour conduire l'Ukraine vers la paix", estime le ministre des Affaires étrangères français, Jean-Noël Barrot [RTBF].

Côté russe, le président Vladimir Poutine rencontrera lui "mardi après-midi l'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, afin de poursuivre les discussions autour du plan américain visant à mettre fin à la guerre en Ukraine", conclut Le Monde.

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28.11.2025 à 11:35

À l'aube de votes cruciaux sur l'accord entre l'UE et le Mercosur, l'Assemblée nationale appelle une nouvelle fois à rejeter le texte

Valentin Ledroit

"Pour la troisième fois en l'espace d'un an, l'Assemblée nationale a exprimé sa vive opposition à l'accord commercial entre l'Union européenne et le Mercosur", note RTL. Jeudi 27 novembre, les députés ont adopté à l'unanimité (246 voix pour, 0 contre) une résolution portée par La France insoumise "invitant le gouvernement à s'opposer à l'accord de […]

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L'opposition des agriculteurs (ici à Bruxelles devant le Parlement européen en février 2024) dure depuis de nombreux mois
L'opposition des agriculteurs (ici à Bruxelles devant le Parlement européen en février 2024) dure depuis de nombreux mois - Crédits : Christophe Licoppe / Commission européenne

"Pour la troisième fois en l'espace d'un an, l'Assemblée nationale a exprimé sa vive opposition à l'accord commercial entre l'Union européenne et le Mercosur", note RTL. Jeudi 27 novembre, les députés ont adopté à l'unanimité (246 voix pour, 0 contre) une résolution portée par La France insoumise "invitant le gouvernement à s'opposer à l'accord de libre-échange" entre l'UE et les pays sud-américains.

Dans un contexte politique tendu, "l'accord UE-Mercosur suscite une rare unanimité contre lui à l'Assemblée nationale", constate France Inter. Une position qui dépasse largement le cadre du Palais Bourbon. "Comme l'Assemblée nationale, [les agriculteurs] sont unanimes dans leur demande d’une révision en profondeur du texte, considéré comme inéquitable et pernicieux pour l’agriculture européenne", complète La Tribune.

Que va faire Emmanuel Macron ?

Le texte adopté jeudi par les parlementaires nationaux est "certes non contraignant, mais [il] met tout de même la pression sur l’exécutif alors que la signature officielle de ce traité de libre-échange pourrait avoir lieu" d'ici la fin de l'année [Le Figaro].  

Libération rappelle que "la Commission européenne se donne jusqu’au 20 décembre pour obtenir l’accord des États européens", tandis qu'"Emmanuel Macron [a] semé le trouble en se disant, mi-octobre, 'plutôt positif' sur la possibilité de toper avec les pays du Mercosur, avant de rétropédaler, mi-novembre à Toulouse, face au tollé". "Les chefs d'État et de gouvernement de l'Union doivent décider lors du Conseil européen du 18 décembre de donner leur accord, ou non, à la ratification de ce traité avec le Mercosur", explique RTL.

"Que va faire la France ? Que dira M. Macron au nom de notre pays ? Pour nous c’est clair : c’est non", a lancé le député insoumis Matthias Tavel dans l'hémicycle ce jeudi [Libération]. Devant les députés, le ministre délégué chargé de l'Europe, Benjamin Haddad, a quant à lui répété que l'accord n'était "pas acceptable en l'état. […] Nous voulons que l'Union européenne légifère pour un meilleur alignement des normes sanitaires et environnementales par l'intégration de mesures miroir [qui consisteraient à interdire en Amérique du Sud les produits interdits dans l'UE, ndlr]", a-t-il indiqué [LCP].

Minorité de blocage

Si les partis politiques français font front commun contre le projet, l'accord de libre-échange bénéficie en revanche de soutiens de poids en Europe. Parmi eux, "l'Allemagne et l'Espagne, convaincues que face aux droits de douane américains et au déferlement des produits chinois, il est impératif de nouer des accords alternatifs pour sécuriser les marchés des entreprises européennes et leur approvisionnement en minerais stratégiques", analyse France Inter.

En face, le gouvernement français tente de réunir une "minorité de blocage". Car "pour être adopté, le volet commercial du traité doit recueillir le soutien d'une majorité qualifiée des États membres (a minima 15 pays sur 27, représentant au moins 65 % de la population de l'UE)", précise RTL.

"Bruxelles a cherché à donner des gages aux pays réticents", affirme France Inter. Des clauses de sauvegarde prévoient ainsi "de freiner les importations en cas de perturbation du marché européen pour des produits sensibles comme le bœuf, la volaille, le miel ou le sucre", détaille la radio. Pas suffisant, jugent certains membres de l'Assemblée nationale. "Elles ne protègeront ni nos éleveurs, ni nos filières, ni nos terroirs […]. Elles ne protègent que sur le papier", estime par exemple le député écologiste (et ancien parlementaire européen) Benoît Biteau [LCP].

Horizon flou au Parlement européen

L'avenir de l'accord avec le Mercosur pourrait également s'assombrir du côté de Strasbourg. "Ces derniers jours, le Parlement a été le théâtre de scènes chaotiques lorsque les législateurs favorables au Mercosur ont tenté, sans succès, d'accélérer le vote visant à approuver les mesures de sauvegarde", indique Politico.

Le média précise également les prochaines étapes du côté des parlementaires : "le texte sera provisoirement soumis au vote d'une commission parlementaire le 8 décembre, puis au vote en séance plénière le 16 décembre, soit quatre jours seulement avant la cérémonie de signature prévue".

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27.11.2025 à 12:31

Environnement : la droite et l'extrême droite européennes votent un nouveau report de la loi antidéforestation

Lou Caubet

Les Échos donnent le ton : "C'est presque devenu une habitude à Bruxelles : dès qu'un texte environnemental ambitieux approche de son heure de vérité, on trouve mille raisons de lui accorder un sursis". Prévue pour 2024 puis décembre 2025, l'entrée en vigueur de "la loi emblématique contre la déforestation […] a été reportée à fin […]

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Texte intégral (2019 mots)
La consommation européenne représente environ 10 % de la déforestation mondiale, comme ici au Brésil - Crédits : Paralaxis / iStock

Les Échos donnent le ton : "C'est presque devenu une habitude à Bruxelles : dès qu'un texte environnemental ambitieux approche de son heure de vérité, on trouve mille raisons de lui accorder un sursis". Prévue pour 2024 puis décembre 2025, l'entrée en vigueur de "la loi emblématique contre la déforestation […] a été reportée à fin 2026" pour les grandes entreprises, et 2027 pour les PME [RFI]. Un nouvel ajournement adopté mercredi 26 novembre "par 402 voix contre 250" au Parlement européen.

Unique au monde, le règlement vise à "interdire la commercialisation en Europe de produits comme l'huile de palme, le cacao, le café, le soja et le bois s'ils sont issus de terres déboisées après 2020", rappelle Sud Ouest. "La consommation européenne représente environ 10 % de la déforestation mondiale" selon le Parlement européen, l'huile de palme et le soja représentant "plus des deux tiers de cette part" [The Brussels Times].

La droite et l'extrême droite à nouveau unies

"En quinze jours, c'est la deuxième fois que l'extrême droite mêle ses voix à la droite pour affaiblir un texte environnemental" [Ouest-France]. Le 13 novembre, "les deux forces avaient sabré de concert le cœur d'une loi sur le devoir de vigilance sociale et environnementale des grandes entreprises", rappelle Sud Ouest.

"Pilier essentiel du programme écologique de l'UE", la loi antidéforestation est aussi devenue "un élément politiquement controversé" [Reuters]. Depuis le début des négociations, elle est "combattue par d'importants lobbys ainsi que par des pays d'Asie et d'Amérique, inquiets des coûts supplémentaires engendrés pour les agriculteurs, éleveurs et exploitants forestiers" [Ouest-France].

En Europe, "l'Allemagne, mais aussi l'Autriche ou la Suède, veulent encore réduire l'ambition du texte déforestation" [Le Monde]. "C’est pour cela qu’ils ont insisté pour l’introduction d’une clause de révision en avril 2026, espérant arriver à leurs fins avant qu’elle n’entre en application". Une clause validée par les députés européens hier, en plus d'avoir "drastiquement limité les obligations faites aux entreprises tout au long de la chaîne d’approvisionnement" [Le Monde]. "Autrement dit, l'UE va pouvoir réviser une loi qu'elle n'a jamais testée, du jamais vu…", relèvent Les Échos.

Un avenir incertain

Au centre de l'hémicycle, les sentiments sont plus partagés. Alors que le groupe social-démocrate déplore le résultat du vote, "les centristes de Renew se sont divisés sur ce texte : 40 % ont voté pour, 60 % contre", rapportent Les Échos. Euractiv explique que "les socialistes et le groupe Renew ont tenté de parvenir à un accord avec le PPE (centre-droit)" pour maintenir la date d'application à décembre 2025 tout en assouplissant le texte, "mais les négociations ont échoué mardi soir".

"Le règlement contre la déforestation importée verra-t-il le jour ?", interroge RFI. "Les nombreux atermoiements autour de ce texte suscitent la colère des organisations environnementales, qui finissent par se demander si l'Union européenne a véritablement l'intention de le mettre en place" [Ouest-France]. "Du côté des ONG, la coupe est pleine" poursuivent Les Échos. "Les tentatives incessantes visant à réviser, voire à détruire" cette loi sont "une farce", a déclaré l'ONG Fern, spécialisée dans la protection des forêts.

Parmi les perdants figurent aussi "les sociétés qui ont investi dans la traçabilité et qui se retrouvent les dindons de la farce", poursuit le quotidien économique. Même "les grandes entreprises alimentaires, notamment Ferrero et Nestlé, ont insisté pour que le calendrier de mise en œuvre soit maintenu tel que prévu initialement" [Euractiv].

Côté Commission, la vice-présidente Teresa Ribera avait exprimé sa "profonde déception" la semaine dernière, après le report décidé par les Vingt-Sept, qu'elle qualifie de "mauvaise décision" [Les Échos]. Pendant ce temps, "l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) rapporte que 420 millions d'hectares de forêt, soit une superficie supérieure à celle de l'UE, ont été perdus au profit de la déforestation entre 1990 et 2020" [The Brussels Times].

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