Le gérant d’un parc de loisirs des Pyrénées-Orientales qui avait refusé l’accès à un groupe de 150 jeunes Israéliens a été mis en examen samedi pour discrimination fondée sur l’origine, l’ethnie ou la nationalité et laissé en liberté après 48 heures de garde à vue.
Jamais saisie autrement que par nos demandes et celle de la Ligue des droits de l’homme avant le 18 août, l’autorité de régulation de l’audiovisuel répond à Mediapart et confirme à Mediapart que l’Office anticybercriminalité n’a rien entrepris au sujet de Kick avant la mort du streamer.
Si les incertitudes stratégiques à gauche complexifient les campagnes à venir, dans les rangs du parti de Marine Tondelier, on veut croire que l’instabilité politique nationale jouera en faveur des sortants à la tête des villes écolos.