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▸ Les 15 dernières parutions

17.12.2025 à 21:17

Fausse vidéo de "coup d'État" en France : Emmanuel Macron a-t-il raison de se plaindre de Facebook ?

Les Observateurs

Emmanuel Macron a mis en cause Facebook pour la non modération d'une vidéo générée par IA annonçant un coup d'État en France, pourtant signalé sur la plateforme de signalement de contenus illicite Pharos. Pour Alexandre Archambault, avocat au barreau de Paris, il y a un "problème de méthode" : la voie judiciaire aurait dû être privilégiée pour obtenir un retrait.

17.12.2025 à 21:15

Mercosur: Paris et Rome contrarient les plans de l'UE, ultimatum de Lula

FRANCE24

Une signature dans les prochains jours est "prématurée", a lâché Giorgia Meloni à la veille d'un sommet européen à Bruxelles. La cheffe du gouvernement italien veut d'abord des garanties "suffisantes" pour le secteur agricole, et se dit "convaincue qu'au début de l'année prochaine, toutes ces conditions seront réunies". Cette sortie est une douche froide pour la Commission européenne. Bruxelles n'a cessé de marteler ces derniers jours qu'une signature était indispensable avant la fin de l'année, pour la "crédibilité" de l'Union européenne et afin de ne pas contrarier les partenaires latino-américains. Prudent, l'exécutif européen fait mine d'y croire encore. "Les chefs d'Etat et de gouvernement vont en discuter au sommet européen" ce jeudi, a dit à l'AFP Olof Gill, porte-parole de la Commission. Au Brésil, le président Lula, qui avait appelé à la responsabilité Emmanuel Macron et Georgia Meloni, a posé une forme d'ultimatum. "Si on ne le fait pas maintenant, le Brésil ne signera plus l'accord tant que je serai président", a-t-il menacé. "Si jamais ils disent non, nous serons désormais fermes avec eux, parce que nous avons cédé sur tout ce qu'il était possible de céder diplomatiquement". "Billet remboursable" La prise de position de Rome sur ce dossier est potentiellement décisive. Avec la France, la Pologne et la Hongrie, l'Italie est en capacité de former une minorité de blocage au sein des Vingt-Sept, ce qui empêcherait un examen de l'accord durant la semaine. "Ca risque d'être très chaud", convient un diplomate européen anonymement, alors que l'Allemagne comme l'Espagne insistent pour approuver ce traité de libre-échange le plus vite possible. Le chancelier allemand, Friedrich Merz, a promis d'exercer une pression "intensive" sur ses partenaires européens mercredi soir et jeudi matin, en appelant à ne pas "chipoter" avec les grands traités commerciaux. Emmanuel Macron a prévenu que "la France s'opposerait de manière très ferme" à un éventuel "passage en force" de l'Union européenne, a rapporté la porte-parole du gouvernement Maud Bregeon. Paris ne considère pas encore comme "acquis" le report de la signature du traité, mais les déclarations de Giorgia Meloni sont la "preuve" que "la France n'est pas seule", a-t-elle ajouté. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, espérait parapher ce traité lors du sommet du Mercosur samedi dans la ville brésilienne de Foz do Iguaçu. Mais elle a besoin au préalable de l'aval d'une majorité qualifiée d'Etats membres à Bruxelles. "J'espère qu'elle a un billet (d'avion) remboursable", glisse une source diplomatique européenne. Manifestation à Bruxelles Cet accord commercial avec l'Argentine, le Brésil, le Paraguay et l'Uruguay permettrait à l'UE d'exporter davantage de véhicules, de machines, de vins et de spiritueux, tout en facilitant l'entrée en Europe de viande, sucre, riz, miel ou soja sud-américains, ce qui inquiète les filières concernées. Les agriculteurs européens ne décolèrent pas et annoncent une dizaine de milliers de manifestants jeudi à Bruxelles contre ce traité. Pour rassurer la profession, l'UE a ajouté des mesures de sauvegarde: un suivi des produits agricoles sensibles et une promesse d'intervention en cas de déstabilisation du marché. Un compromis a été trouvé mercredi soir sur ce volet entre des eurodéputés et des représentants des États membres: les garanties pour les agriculteurs y sont supérieures à ce qu'avaient voté les Vingt-Sept en novembre, mais en deçà de la position adoptée par le Parlement européen mardi. Elles ne devraient toutefois pas suffire à la France. Le bras de fer avec Bruxelles s'inscrit dans un contexte de vaste mobilisation agricole dans l'Hexagone contre la gestion par les autorités de l'épidémie de dermatose nodulaire contagieuse (DNC). Et au sein de l'Union européenne, une série d'États redoutent que Paris ne se contente pas d'un report du Mercosur mais essaye de faire échouer le traité, malgré plus de 25 ans de négociations. Allemands, Espagnols et Scandinaves comptent quant à eux sur cet accord pour relancer une économie européenne à la peine face à la concurrence chinoise et aux taxes douanières des États-Unis.

17.12.2025 à 20:55

La justice impose le gel du plan de suppression de postes de Thales dans le spatial

FRANCE24

Dans ce jugement, rendu lundi, la justice "ordonne la suspension du projet", et enjoint à Thales Alenia Space, filiale du groupe dans le spatial, de "procéder à une nouvelle évaluation précise" de "l'impact du projet" sur la "charge de travail" des salariés. Cette décision donne raison à la CGT, qui estimait que ce plan mettait "en danger la santé des salariés". Elle "éloigne définitivement la perspective de ce plan", s'est réjoui Thomas Meynadier, représentant CGT, interrogé par l'AFP. Thales avait annoncé en mars 2024 la suppression et le redéploiement de 1.300 postes de sa branche spatiale, dont 1.000 en France, ailleurs dans le groupe, en raison de la crise des satellites de télécommunication. Le plan a toutefois été gelé "jusqu'à mi-2026" par Thales en juin dernier, alors que deux tiers des salariés avait déjà été redéployés. Mais la "suspension ne concernait pas les postes indirects", comme "les RH ou la communication", explique M.Meynadier. La direction avait en outre précisé qu'elle ne renonçait pas à son plan, parlant d'un "ralentissement" de son déploiement, en espérant d'autres contrats majeurs dans le domaine des satellites de télécommunications. Contacté par l'AFP, Thales n'était pas en mesure de réagir à cette information.
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