Au lendemain de l’annonce du Premier ministre de sa volonté «d’engager la responsabilité de son gouvernement» devant l’Assemblée le 8 septembre, opposants et soutiens continuent de réagir à cette décision qui risque de précipiter sa chute.
Plus de 2 milliards de personnes n’ont toujours pas accès à une eau potable gérée en toute sécurité, déplorent mardi les Nations unies dans un rapport.
En cas de chute, probable de François Bayrou à l’issue du vote de confiance le 8 septembre, une partie de la gauche espère remplacer le gouvernement actuel et avoir sa chance.