02.05.2025 à 15:05
admn_iris
À l’occasion des Rencontres géoéconomiques et géopolitiques consacrées au sport pour leur deuxième édition, organisées en partenariat avec NEOMA Business School, Virgile Caillet, Délégué général d’UNION Sport & Cycle a accepté de répondre aux questions de l’IRIS. Il revient, dans cet entretien, sur les nouveaux défis, notamment économiques et écologiques, auxquels fait face la filière sportive française. 🔎Programme détaillé de la 2e édition des Rencontres géoéconomiques et géopolitiques qui s’est tenue le 1er avril 2025
L’article Les enjeux économiques du sport en France est apparu en premier sur IRIS.
À l’occasion des Rencontres géoéconomiques et géopolitiques consacrées au sport pour leur deuxième édition, organisées en partenariat avec NEOMA Business School, Virgile Caillet, Délégué général d’UNION Sport & Cycle a accepté de répondre aux questions de l’IRIS. Il revient, dans cet entretien, sur les nouveaux défis, notamment économiques et écologiques, auxquels fait face la filière sportive française.
Programme détaillé de la 2e édition des Rencontres géoéconomiques et géopolitiques qui s’est tenue le 1er avril 2025
L’article Les enjeux économiques du sport en France est apparu en premier sur IRIS.
02.05.2025 à 14:05
admn_iris
Le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne, l’Union européenne et l’Union africaine ont coprésidé la Conférence de Londres sur le Soudan le 16 avril 2025, marquant le début d’une troisième année de combats. La guerre civile opposant les forces armées soudanaises (Sudanese Armed Forces – SAF), qui forment le gouvernement de facto, et les Forces de soutien rapide (Rapid Support Forces – RSF) a commencé en avril 2023, quand le général Abdel Fattah al-Burhan et le général Mohamed Hamdan Dagalo, dit Hemedti, se sont tournés l’un contre l’autre dans une lutte violente pour le pouvoir. Pourquoi Londres a-t-elle accueilli un sommet pour soutenir le Soudan ? Quels en étaient les objectifs, et quels résultats ont été obtenus ? La partition du Soudan est-elle une possibilité ? Les réponses de Clémence Noisette, assistante de recherche à l’IRIS. Pourquoi Londres a-t-elle accueilli le 16 avril 2025 un sommet pour soutenir le Soudan ? Le conflit au Soudan est, depuis deux ans, largement ignoré par la presse internationale, africaine comme occidentale. Le Soudan fait face à une crise structurelle de temps long, puisque le pays a connu plusieurs conflits internes depuis son indépendance, ce qui participe à la faible mobilisation des instances diplomatiques internationales. Il a pourtant entraîné la pire crise humanitaire du monde. Plus de onze millions de Soudanais sont déplacés en interne, près de quatre millions ont fui le pays, tandis que 64 % de la population a besoin d’assistance (OCHA). Le Soudan connait la pire crise de la faim actuelle : vingt-cinq millions de Soudanais sont en situation d’insécurité alimentaire aiguë et plus de six cent mille Soudanais font face à la famine (PAM). Malgré la situation humanitaire catastrophique, les mobilisations pour le Soudan restent rares et inefficaces. Ancienne puissance coloniale, le Royaume-Uni est resté investi sur la question soudanaise. Dans les années 1990, le pays a […]
L’article Conférence de Londres sur le Soudan : quelles perspectives après des résultats diplomatiques peu encourageants ? est apparu en premier sur IRIS.
Le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne, l’Union européenne et l’Union africaine ont coprésidé la Conférence de Londres sur le Soudan le 16 avril 2025, marquant le début d’une troisième année de combats. La guerre civile opposant les forces armées soudanaises (Sudanese Armed Forces – SAF), qui forment le gouvernement de facto, et les Forces de soutien rapide (Rapid Support Forces – RSF) a commencé en avril 2023, quand le général Abdel Fattah al-Burhan et le général Mohamed Hamdan Dagalo, dit Hemedti, se sont tournés l’un contre l’autre dans une lutte violente pour le pouvoir. Pourquoi Londres a-t-elle accueilli un sommet pour soutenir le Soudan ? Quels en étaient les objectifs, et quels résultats ont été obtenus ? La partition du Soudan est-elle une possibilité ? Les réponses de Clémence Noisette, assistante de recherche à l’IRIS.
Pourquoi Londres a-t-elle accueilli le 16 avril 2025 un sommet pour soutenir le Soudan ?
Le conflit au Soudan est, depuis deux ans, largement ignoré par la presse internationale, africaine comme occidentale. Le Soudan fait face à une crise structurelle de temps long, puisque le pays a connu plusieurs conflits internes depuis son indépendance, ce qui participe à la faible mobilisation des instances diplomatiques internationales. Il a pourtant entraîné la pire crise humanitaire du monde. Plus de onze millions de Soudanais sont déplacés en interne, près de quatre millions ont fui le pays, tandis que 64 % de la population a besoin d’assistance (OCHA). Le Soudan connait la pire crise de la faim actuelle : vingt-cinq millions de Soudanais sont en situation d’insécurité alimentaire aiguë et plus de six cent mille Soudanais font face à la famine (PAM). Malgré la situation humanitaire catastrophique, les mobilisations pour le Soudan restent rares et inefficaces.
Ancienne puissance coloniale, le Royaume-Uni est resté investi sur la question soudanaise. Dans les années 1990, le pays a formé une troïka avec les États-Unis et la Norvège pour soutenir les efforts de paix au Soudan et l’accès à l’indépendance du Soudan du Sud. Le Royaume-Uni est un des membres des « Friends of Sudan », le forum international le plus important pour le processus de transition soudanais. Le groupe a réuni des pays occidentaux, des acteurs régionaux et le gouvernement soudanais issu de la révolution démocratique de 2019 afin de suivre l’avancée de la transition.
Depuis sa nomination comme secrétaire d’État aux Affaires étrangères, du Commonwealth et du Développement en juillet 2024, David Lammy a tenté de faire bouger les lignes sur la question soudanaise. Lors de la présidence britannique du Conseil de sécurité de l’ONU de novembre 2024, le Royaume-Uni et la Sierra Leone avaient corédigé une résolution sur la protection des civils. Le projet de résolution visait à créer un mécanisme de mise en œuvre des engagements en matière de protection des civils issus de la Déclaration de Djeddah, signée par les RSF et les SAF en mai 2023. La résolution avait recueilli quatorze voix pour, mais le veto de la Russie avait empêché le Conseil de sécurité de l’ONU de l’adopter, Moscou ayant endossé la position des SAF. Le général al-Burhan reprochait au texte de mettre sur un pied d’égalité les RSF et les SAF, de violer la souveraineté du Soudan en mentionnant la possibilité d’une intervention militaire étrangère et en souhaitant une justice rendue par la Cour pénale internationale plutôt que par les autorités soudanaises. Le secrétaire d’État britannique s’est également déplacé en janvier 2025 afin de visiter la ville d’Adré, à la frontière entre le Tchad et le Soudan, et de rencontrer des réfugiés soudanais.
Dans la continuité de la Conférence pour le Soudan et les pays voisins, coorganisée à Paris par la France, l’Allemagne et l’Union européenne en avril 2024, David Lammy a réuni à Londres l’Arabie saoudite, le Canada, l’Égypte, les Émirats arabes unis, les États-Unis, l’Éthiopie, le Kenya, la Norvège, le Qatar, le Soudan du Sud, la Suisse, le Tchad, la Turquie et l’Ouganda. Des représentants de l’Union africaine, de l’Union européenne, de la Ligue arabe et des Nations unies étaient également présents. En unissant acteurs régionaux, instances politiques internationales et pays occidentaux, le sommet visait à trouver une position hégémonique multilatérale sur le règlement du conflit au Soudan.
Quels étaient les objectifs du sommet, et quels résultats ont été obtenus ?
L’objectif principal du sommet était de créer une cohérence politique entre les acteurs impliqués dans la réponse internationale. L’absence de représentants soudanais, des SAF comme des RSF, rendait claire l’impossibilité de signer un accord de cessez-le-feu à la sortie du sommet. Toutefois, l’idée demeurait de trouver un « chemin vers la paix », en unissant les voix et les efforts.
Alors que les ambitions apparaissaient déjà limitées, les résultats n’ont pas été à la hauteur des objectifs du sommet du fait d’un désaccord entre l’Égypte, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, qui exercent tous trois une influence sur le conflit.
Égypte : Le président Al-Sissi considère le général al-Burhan comme un allié-clef pour la stabilité régionale, notamment dans son conflit d’intérêts avec l’Éthiopie sur la construction du grand barrage de la Renaissance. Celui-ci fournirait à Addis Abeba la main sur la gestion des eaux du Nil ce qui inquiète le Soudan et l’Égypte. Le Caire a donc procuré un soutien militaire, financier et humanitaire au gouvernement d’al-Burhan depuis son coup d’État en 2021.
Arabie saoudite : Pour contenir l’influence industrielle et technologique iranienne au Soudan, Riyad a largement financé le gouvernement d’al-Burhan. Téhéran ne joue pas un jeu politique, mais s’est imposé par ses exportations de drones depuis le début de la guerre. L’Arabie saoudite tente surtout de s’établir comme un médiateur crédible. Jusqu’ici, seules les négociations de Djeddah ont mené à un accord signé par les SAF et les RSF, même si elles ne sont pas mises en œuvre.
Émirats arabes unis : Abu Dhabi est le mécène principal des RSF. Les Émirats semblent fournir une aide militaire par un corridor à la frontière entre le Tchad et le Soudan, contrevenant ainsi à l’embargo sur les armes imposé par l’ONU. Ils ont toujours nié ces accusations. Les Émirats, deuxième plus grand centre aurifère du monde, jouent également un rôle clef dans le secteur, car près de 90 % de l’or soudanais finirait dans le pays, par des circuits commerciaux légaux ou clandestins.
Le conflit soudanais est marqué par l’intervention d’acteurs régionaux. Londres comptait notamment sur la convergence entre ces trois États pour produire un communiqué conjoint. Or, pour la première fois, l’Égypte et l’Arabie saoudite ont exprimé publiquement leur désaccord avec le soutien prodigué aux RSF par les Émirats arabes unis. Par ailleurs, l’Égypte et l’Arabie saoudite défendaient l’inscription du respect des institutions d’État dans le communiqué conjoint, entérinant implicitement la légitimité du gouvernement des SAF. Les Émirats y préféraient une formulation invoquant une gouvernance civile. À cause de cette impasse, la conférence a été contrainte de se conclure sur une déclaration des coprésidents et n’a pas réussi à trouver un groupe de contact pour relancer une médiation indirecte.
Par ailleurs, la conférence ne permettra pas de soutenir les civils confrontés à la catastrophe humanitaire en cours. Au total, 950 millions d’euros d’aide, dont 282 millions d’euros de dons de l’Union européenne, ont été annoncés. Ce montant est loin de pouvoir assurer les besoins urgents du peuple soudanais. En effet, l’ONU estime que 6 milliards de dollars sont nécessaires pour répondre aux multiples crises, dont 4,2 pour la réponse humanitaire et 1,8 pour les déplacés externes dans les pays voisins. Ainsi, seul un sixième du financement des besoins urgents sera mis à disposition, si les moyens engagés sont effectivement déboursés. Les populations les plus vulnérables subissent déjà la tendance à la baisse de l’aide multilatérale. L’appel à garantir un accès humanitaire libre et sécurisé au Soudan ne s’est pour l’instant traduit par aucune mesure concrète. Le sommet n’est donc pas en mesure de répondre à la crise structurelle que rencontre le Soudan actuellement.
En parallèle du sommet, le général Hemedti a annoncé la création d’une administration parallèle à celle du général al-Burhan. La partition du Soudan est-elle une possibilité ?
Le général Hemedti a annoncé sur Telegram, le 16 avril 2025, la création d’une administration « de paix et d’unité ». La charte fondatrice avait été signée le 22 février 2025 à Nairobi par les RSF et vingt-trois autres mouvements rebelles. La création de cette nouvelle administration alimente les inquiétudes quant à une éventuelle partition de facto du Soudan. Jusqu’ici, les RSF ne prodiguaient pas de système administratif et n’offraient donc pas de solution alternative au gouvernement d’al-Burhan. Désormais, si la ligne de front se stabilise, le Soudan pourrait se fragmenter entre les zones d’influence des deux belligérants.
Comme il s’agit d’une guerre pour le pouvoir et pour le contrôle des matières premières, aucun des deux généraux ne souhaite cesser les combats. Les deux camps sont des héritiers politiques de la dictature militaire d’Omar el-Bechir (1989-2019), qui s’étaient alliés en 2021 pour contenir la révolution démocratique de 2019 avant de se tourner l’un contre l’autre en 2023. Tous deux accusés de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, ils n’hésitent pas à mettre les civils en péril pour poursuivre leur conquête militaire. L’instrumentalisation des communautés et des groupes socio-ethniques – en faisant appel aux réminiscences des crises antérieures et aux tensions autour des ressources naturelles – leur garantit certains soutiens alliés. Par des déclarations successives, les généraux Hemedti et al-Burhan ont affirmé que la guerre ne cesserait que par une victoire militaire. Ainsi, la reprise de Khartoum par les FAS en mars 2025 aurait pu devenir un évènement décisif dans le cours du conflit. Toutefois, les RSF poursuivent leur offensive à Khartoum, accroissent leur coalition, notamment par un accord avec le Mouvement populaire de libération du Soudan-Nord (SPLM-North), un groupe actif à la frontière entre le Soudan et le Soudan du Sud, et étendent le théâtre d’opérations vers le nord du pays, jusqu’ici relativement épargné.
De nombreuses ressources naturelles, dont l’or, mais aussi les terres arables, le bétail, les minéraux et la gomme, influent sur la dynamique de la guerre au Soudan. L’or s’est rapidement manifesté un élément central du conflit, à la fois comme cause et comme moyen. Par le passé, le contrôle des zones riches en or, dont le nord du Darfour, a déjà motivé l’action violente des RSF pour accéder au contrôle de la production et de l’exportation aurifère. La valeur élevée de l’or et son rôle dans le financement des acteurs locaux et extérieurs en font un élément essentiel du maintien et de l’évolution du conflit actuel. Ce commerce lucratif rend donc peu probable la fin du conflit, puisque les deux belligérants s’arrimeront aux zones riches en ressource qu’ils contrôlent.
La fragmentation du pays est une ligne rouge pour tous les acteurs impliqués dans la résolution du conflit. Les coprésidents du Sommet de Londres ont souligné l’importance d’empêcher la partition du Soudan dans leur communiqué, tandis que l’Égypte et l’Union africaine ont réitéré ce même propos. Outre le non-respect de l’intégrité du territoire soudanais et du principe de l’intangibilité des frontières en Afrique, la fragmentation du pays risque de complexifier encore le chemin vers la paix et la surveillance internationale de la situation humanitaire.
La communauté internationale doit persévérer pour trouver une paix durable. Aujourd’hui, aucun général n’est considéré comme pleinement légitime pour diriger le Soudan. Après l’échec de la médiation américaine, l’administration Biden a émis en janvier 2025, à la toute fin de son mandat, des sanctions contre les RSF, accusés de génocide, puis contre les SAF. Par cette double décision, les États-Unis affirment que ni al-Burhan ni Hemedti n’encouragent un futur pacifique pour le Soudan. L’administration Trump n’a pour l’instant pas pris position sur la guerre au Soudan. De la même manière, aucun représentant soudanais n’a été convié au Sommet de Londres. De ce fait, les efforts internationaux doivent se concentrer sur la représentation des intérêts du peuple soudanais. Enfin, les puissances régionales doivent apporter des garanties de leurs engagements pour la paix. Chaque année, l’Égypte et les Émirats arabes unis signent des déclarations contre les interférences étrangères au Soudan, mais poursuivent leur soutien direct.
En organisant cette conférence, le Royaume-Uni a mis l’espace d’un instant le Soudan sur le devant de la scène diplomatique. Néanmoins, les résultats limités de la conférence et sa faible visibilité médiatique prouvent que les efforts diplomatiques vont devoir se répéter sur le temps long avant de parvenir à trouver une issue au conflit.
L’article Conférence de Londres sur le Soudan : quelles perspectives après des résultats diplomatiques peu encourageants ? est apparu en premier sur IRIS.
30.04.2025 à 18:25
stagiairedecomm@iris-france.org
Pascal Boniface · Gaza : Nul ne pourra dire "Nous ne savions pas". Avec Dominique Eddé | Entretiens géopo Face à la souffrance du peuple palestinien, le silence règne dans les sphères médiatique et politique. Depuis les attaques du 7 octobre 2023 perpétrées par le Hamas, la riposte du gouvernement de Benyamin Netanyahou, soutenu par la Maison-Blanche, a mené à la destruction du territoire gazaoui, et à la mort d’a minima 50 000 civils palestinien. Avec le retour de Donald Trump au pouvoir, le soutien inconditionnel de Washington se double d’une proposition de plan visant à vider Gaza de sa population pour y construire une riviera, le tout en dépit du droit international.Cette réalité donne lieu à une véritable bataille des récits, où la capacité de réflexion se heurte à la dévalorisation du savoir et à l’impossibilité du débat intellectuel. L’horreur des crimes de guerre commis ne devrait être qu’une raison de plus de les condamner, ce que défend ardument Dominique Eddé dans ce podcast.Comment expliquer le manque de recul qui anime les débats sur la reconnaissance des souffrances du peuple palestinien ? Pourquoi l’espace médiatique français fait-il preuve d’un lourd silence sur la question ? Comment sortir de l’immobilisme politique au sujet du conflit ? Autant d’enjeux abordés dans ce podcast par Dominique Eddé, intellectuelle et essayiste libanaise
L’article Gaza : Nul ne pourra dire » Nous ne savions pas ». Avec Dominique Eddé est apparu en premier sur IRIS.
Face à la souffrance du peuple palestinien, le silence règne dans les sphères médiatique et politique. Depuis les attaques du 7 octobre 2023 perpétrées par le Hamas, la riposte du gouvernement de Benyamin Netanyahou, soutenu par la Maison-Blanche, a mené à la destruction du territoire gazaoui, et à la mort d’a minima 50 000 civils palestinien. Avec le retour de Donald Trump au pouvoir, le soutien inconditionnel de Washington se double d’une proposition de plan visant à vider Gaza de sa population pour y construire une riviera, le tout en dépit du droit international.
Cette réalité donne lieu à une véritable bataille des récits, où la capacité de réflexion se heurte à la dévalorisation du savoir et à l’impossibilité du débat intellectuel. L’horreur des crimes de guerre commis ne devrait être qu’une raison de plus de les condamner, ce que défend ardument Dominique Eddé dans ce podcast.
Comment expliquer le manque de recul qui anime les débats sur la reconnaissance des souffrances du peuple palestinien ? Pourquoi l’espace médiatique français fait-il preuve d’un lourd silence sur la question ? Comment sortir de l’immobilisme politique au sujet du conflit ?
Autant d’enjeux abordés dans ce podcast par Dominique Eddé, intellectuelle et essayiste libanaise
L’article Gaza : Nul ne pourra dire » Nous ne savions pas ». Avec Dominique Eddé est apparu en premier sur IRIS.