Un mois et demi après l’expulsion des mineur·es qui occupaient le lieu culturel, aucune solution pérenne n’a été apportée. Mardi 6 mai, un rassemblement était organisé devant le lycée Jacques-Decour pour douze de leurs élèves sans hébergement.
Face au danger que représente la montée de l’extrême droite, des soignant·es éprouvent la nécessité de s’organiser collectivement. Une démarche qui n’a rien d’évident alors que le secteur médical public est à bout de souffle et son personnel peu politisé dans l’ensemble.