Cette nouvelle tendance se répand le réseau TikTok. L’inquiétude grandit quant aux conséquences sur la santé mentale et physique des plus jeunes du fait de ces contenus, qui prolifèrent grâce à un algorithme surpuissant.
Un mois et demi après l’expulsion des mineur·es qui occupaient le lieu culturel, aucune solution pérenne n’a été apportée. Mardi 6 mai, un rassemblement était organisé devant le lycée Jacques-Decour pour douze de leurs élèves sans hébergement.