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26.10.2025 à 15:15

Début de la mythique Transat Café l'Or entre Le Havre et Fort-de-France en Martinique

FRANCE24

Ce dimanche 26 octobre prochain débute la 17ème édition de la Transat Café l’Or (ex-Transat Jacques Vabre), célèbre course de bateaux à voile entre Le Havre et Fort-de-France en Martinique. Parmi les marins engagés : le duo Thomas Coville - Benjamin Schwarz dans la class Ultim, qui regroupe les bateaux multicoques les plus rapides au monde. Leur objectif : la victoire. Reportage Cédric Ferreira et Natalia Ruiz Giraldo.

26.10.2025 à 15:05

Israël affirme son droit de veto sur la force internationale à Gaza

FRANCE24

Preuve s'il en est de cette volonté de contrôler qui accède au territoire palestinien, Israël a permis à un convoi égyptien d'entrer ce week-end à Gaza pour aider à retrouver les restes d'otages enlevés par le Hamas. "Nous sommes un Etat indépendant", a martelé M. Netanyahu dimanche lors d'une réunion du gouvernement, en précisant qu'Israël aurait un droit de veto sur les membres de la force internationale. "Notre politique de sécurité est entre nos mains", a dit le Premier ministre, opposé au déploiement de troupes turques dans cette future force, Ankara ayant accueilli des dirigeants du Hamas. Le 17 octobre, un responsable turc avait annoncé qu'une équipe de secouristes destinée à rechercher des corps attendait d'entrer dans le territoire palestinien. Les Turcs n'ont finalement pas obtenu le feu vert d'Israël. Convoi égyptien Or, dans la nuit de samedi à dimanche, ce sont des véhicules et des camions égyptiens transportant des engins lourds de chantier qui sont entrés dans la bande de Gaza, selon un reporter de l'AFPTV, en vue d'accélérer la recherche des 13 dernières dépouilles d'otages. Le convoi s'est dirigé vers Al-Zawayda, dans le centre de la bande de Gaza, au siège du Comité égyptien de Gaza, où il sera basé. Cette organisation travaille en coordination avec le Croissant-Rouge égyptien. En vertu du cessez-le feu, le Hamas a remis le 13 octobre, en échange de près de 2.000 prisonniers palestiniens, les 20 otages vivants qu'il retenait encore à Gaza depuis l'attaque meurtrière qu'il a menée le 7 octobre 2023 en Israël et qui a déclenché la guerre. Israël n'a jusqu'à présent récupéré que 15 des 28 dépouilles d'otages que le Hamas s'était engagé à lui rendre dans le même temps. Le mouvement palestinien affirme avoir besoin de matériel et de plus de temps pour retrouver les dépouilles, dit-il, dans les décombres. "Nous ne donnerons pas à l'occupation (israélienne) une excuse pour reprendre la guerre (...) de nouvelles zones seront accessibles dimanche pour rechercher certains des corps des prisonniers de l'occupation", a déclaré samedi soir son négociateur en chef, Khalil al-Hayya. M. al-Hayya s'est plaint en revanche qu'Israël "continue de bloquer l'entrée de l'aide humanitaire à Gaza". "Les violations (des dispositions de l'accord de cessez-le-feu) inquiètent les gens et menacent la stabilité de l'accord", a-t-il jugé. "Israël décidera" Jeudi à Ankara, une source du ministère turc de la Défense avait assuré que des discussions autour d'une participation de l'armée turque à une mission de maintien de la paix dans la bande de Gaza étaient en cours. Mais le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio a déclaré vendredi que la composition de la force de maintien de la paix serait soumise à un droit de veto d'Israël. "Il faudra que ce soient des personnes ou des pays avec lesquels Israël se sente à l'aise", a assuré M. Rubio, permettant ainsi à Israël de s'opposer à la présence de la Turquie à Gaza. "Nous avons (...) clairement indiqué aux forces internationales qu'Israël déciderait quelles forces sont inacceptables pour nous", a rappelé le Premier ministre dimanche à Jérusalem. De leur côté, les mouvements palestiniens réunis au Caire cette semaine ont affirmé, dans une déclaration commune, "l'importance d'adopter une résolution des Nations unies concernant les forces internationales" à Gaza. Dans la perspective d'un cessez-le-feu, la "déclaration de New York" préparée par la France et l'Arabie saoudite et adoptée par une majorité écrasante de l'Assemblée générale de l'ONU, prévoit le déploiement sous l'égide de l'ONU d'une "mission internationale temporaire de stabilisation" à Gaza. Le président indonésien Prabowo Subianto, dont le pays n'a pas de relations officielles avec Israël contrairement à l'Egypte et la Turquie, a notamment assuré être prêt à envoyer des troupes pour y participer.

26.10.2025 à 15:03

Arrivée d'un navire de guerre américain à Trinité-et-Tobago, face au Venezuela

FRANCE24

La venue de l'USS Gravely, ainsi qu'une unité de marines, pour des exercices avec l'armée trinidadienne, avait été annoncée jeudi par le gouvernement de ce pays anglophone de 1,4 million d'habitants. Le président Trump a aussi annoncé l'arrivée du porte-avions Gerald R. Ford, le plus grand au monde, une montée en puissance considérable des moyens militaires américains dans la région que M. Maduro a dénoncé vendredi comme une tentative d'"inventer une nouvelle guerre". Donald Trump accuse M. Maduro d'implication directe dans le trafic de drogue, ce que ce dernier dément formellement. Pour le dirigeant vénézuélien, Washington se sert du trafic de drogue comme prétexte "pour imposer un changement de régime" et s'emparer des importantes réserves de pétrole de son pays. "Entre deux murs" A Port d'Espagne, certains soutiennent la présence américaine si près des côtes vénézuéliennes. "Il y a une bonne raison pour laquelle ils amènent leur navire de guerre ici. C'est pour aider à nettoyer les problèmes de drogue qui sont sur le territoire" vénézuélien, estime Lisa, une habitante de 52 ans qui préfère ne pas donner son nom de famille. "C'est pour une bonne cause, beaucoup de gens seront libérés de l'oppression" et du "crime", ajoute-t-elle. De nombreuses personnes interrogées expriment cependant une inquiétude face à l'arrivée du navire. Le président Trump a évoqué des frappes contre des cartels sur le territoire vénézuélien et a dit avoir autorisé des opérations clandestines sur le sol du pays sud-américain. "S'il arrivait quelque chose entre le Venezuela et l'Amérique, en tant que personnes vivant à la périphérie (...) nous pourrions finir par recevoir des coups", redoute Daniel Holder, 64 ans. Assis sur une place du centre-ville, cet adepte du rastafarisme, un mouvement spirituel apparu parmi des descendants d'esclaves de Jamaïque, estime que "les gens ne voient pas à quel point c'est sérieux actuellement" mais que "des choses pourraient arriver ici" en raison de la proximité géographique entre son pays et le Venezuela. Il s'oppose à la stratégie de son gouvernement. La Première ministre de Trinité-et-Tobago, Kamla Persad-Bissessar, est un fervent soutien de M. Trump, et a adopté dès son accession au pouvoir en mai dernier un discours virulent contre l'immigration et la criminalité vénézuéliennes dans son pays. Mme Persad-Bissessar, "invite l'Amérique" alors qu'"elle devrait se tenir à l'écart" et laisser Washington et Caracas régler leur différend "au lieu d'essayer de s'interposer", regrette-t-il. C'est comme "être entre deux murs", soupire M. Holder. "Alarmant" Les États-Unis mènent depuis début septembre, essentiellement dans les eaux caribéennes mais aussi dans le Pacifique, des frappes aériennes contre des embarcations présentées comme celles de narcotrafiquants. Jusque-là, dix ont été revendiquées. Elles ont tué au moins 43 personnes, selon un décompte de l'AFP basé sur des chiffres du gouvernement américain. Deux Trinidadiens auraient été tués mi-octobre dans l'une d'elles, selon leurs familles. Les autorités locales n'ont ni confirmé ni infirmé ces décès. Des experts ont remis en question la légalité des frappes dans des eaux étrangères ou internationales, contre des suspects qui n'ont pas été interceptés ou interrogés. Rhonda Williams, réceptionniste de 38 ans, ne souhaite qu'une chose: la paix. "Nous n'avons pas besoin de tous ces meurtres et de ces bombardements, nous avons juste besoin de paix ... et de Dieu", affirme-t-elle à l'AFP. "Le Venezuela traverse en ce moment une situation très difficile, au niveau social et économique", une situation "due au gouvernement", estime Ali Ascanio, un Vénézuélien de 38 ans installé à Trinité-et-Tobago - comme nombre de ses compatriotes- depuis huit ans. L'arrivée du destroyer américain "est un peu préoccupant", "alarmant parce que nous savons que c'est un signe de guerre". Ce vendeur de fruits et légumes espère que la pression américaine poussera Nicolas Maduro à "partir bientôt".
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