Dans un discours truffé de références bibliques, Donald Trump a estimé le 13 octobre devant les députés israéliens que « le soleil se lève sur une terre sacrée et une région qui vivra bientôt en paix pour l’éternité ». Pour le frère Olivier Catel, la notion de « Terre d’Israël » reste cependant très floue.
Le plan américain prévoit l’ouverture de l’enclave à l’aide humanitaire. L’ONU et les ONG se disent prêtes mais un seul un passage, au sud de Gaza, a jusqu’ici été ouvert.