L'entraîneur Luis Enrique a aussi choisi de se passer d'autres cadres de l'équipe comme l'habituel capitaine Marquinhos, Ousmane Dembélé, Vitinha, Fabian Ruiz et Gianluigi Donnarumma.
L'entraîneur avait fait le même choix avec Mbappé et Dembélé pour se déplacer à Nice mercredi (victoire 2-1), mais le PSG avait indiqué que les deux hommes étaient gênés physiquement, ce qui n'a pas été le cas lors du point médical diffusé samedi.
Quant à Donnarumma, il pourrait être remplacé dans les buts par Keylor Navas, pour une forme de jubilé avant le départ de l'ancien du Real Madrid cet été.
"Ce sera un mélange" entre joueurs cadres et habituels remplaçants, avait indiqué Luis Enrique samedi, soucieux de préparer la finale de Coupe de France contre Lyon samedi prochain tout en préservant physiquement ses meilleurs joueurs pour un match sans enjeu.
En effet, le PSG est déjà sacré champion et a reçu le trophée dimanche dernier au Parc des Princes.
En Nouvelle-Calédonie, l'État français est passé à l'offensive dimanche 19 mai. Après six jours d'émeutes et la mort de six personnes sur l'île, les forces de l'ordre ont mené une opération d'envergure pour tenter de "reprendre totalement la maîtrise" du territoire. Un convoi de 600 gendarmes est parti de Nouméa pour tenter de dégager la route principale menant à l'aéroport international, entravée par des barrages.
Salomé Zourabichvili dénonce une loi "russe dans son essence, et qui contredit notre Constitution". Samedi 18 mai, la présidente géorgienne a annoncé avoir mis son veto à la loi controversée sur l'"influence étrangère", qui vise les médias et les ONG recevant des fonds étrangers. Un veto "symbolique" puisque le parti au pouvoir, Rêve géorgien, à l'origine de la loi, assure avoir assez de voix au Parlement pour passer outre. Dans la rue, les Géorgiens sont prêts à continuer le combat.