Dans cette ville de la banlieue sud de Paris, la municipalité traite la vague de chaleur comme une situation d’urgence. Mais les investissements nécessaires pour une véritable adaptation du bâti scolaire, notamment, restent hors de portée dans l’immédiat.
L’électricien national, qui a dû stopper lundi un réacteur à Golfech (Tarn-et-Garonne), pour limiter les rejets d’eau chaude dans la Garonne, reste rassurant sur les effets à court terme des vagues de chaleur sur le parc nucléaire. Mais son autorité de sûreté comme la Cour des comptes l’incitent à accélérer son adaptation.