Une vingtaine d’ONG ont jugé « sans fondement » les accusations visant celui qui est surnommé « le poète du hirak », en raison des vers qu’il a déclamés lors des manifestations massives ayant ponctué le mouvement prodémocratie en 2019.
Deux organismes anticorruption, indépendants du pouvoir, accusent Timour Minditch, copropriétaire d’une société de production audiovisuelle fondée par le président ukrainien lorsqu’il était comédien, d’avoir « exercé un contrôle sur l’accumulation, la distribution et la légalisation de fonds d’origine criminelle dans le secteur énergétique »