Dans un contexte de resserrement budgétaire, l’Etat réduit depuis 2025 les hébergements pour les demandeurs d’asile. Les associations redoutent un report vers les dispositifs d’urgence et un surcoût budgétaire à long terme.
Au contraire des associations requérantes, le rapporteur public de la plus haute juridiction administrative a estimé que l’accord entre Londres et Paris, qui prévoit un échange de migrants, ne touche pas à une matière réservée à la loi et ne devait donc pas être soumis à l’approbation du Parlement.
Dans une tribune au « Monde », des soignants appellent la France, qui dispose à la fois de la capacité et de l’expertise nécessaires, à participer de toute urgence à l’évacuation médicale des civils palestiniens, comme elle l’a fait pour l’Ukraine.