Donald Trump s’était ému des « atrocités » commises dans le troisième plus grand pays d’Afrique après que Mohammed Ben Salman lui a demandé de s’impliquer pour mettre fin au conflit.
Dans une tribune au « Monde », la chercheuse s’inquiète de l’adoption par référendum, le 4 novembre, de la réforme de la carte électorale californienne, favorable aux démocrates. Elle rappelle que « l’Etat de droit implique que le pouvoir public se soumette aux règles qu’il édicte ».
Le président américain a annoncé un accord stratégique de défense avec Riyad, incluant la fourniture de F-35. Interrogé sur l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, il a disculpé le prince héritier saoudien, pourtant considéré comme le commanditaire par la CIA.