Sous le coup de deux mandats d’arrêt, le quinquagénaire, dernier membre en fuite de la célèbre bande criminelle corse, a été interpellé sans résistance par les gendarmes, samedi, deux jours après avoir été condamné, en son absence, au procès du meurtre du bâtonnier Antoine Sollacaro.
Le préfet de Côte-d’Or a évoqué, en conférence de presse, de possibles « représailles par rapport à l’action de l’Etat » dans la lutte contre le trafic de drogue.
La section disciplinaire de l’université Paris-I considère que certains agissements du spécialiste de la Révolution française sont constitutifs d’un harcèlement moral envers plusieurs collègues. Pierre Serna devrait rejoindre un nouveau laboratoire de recherche en juin 2026.