Le président des Etats-Unis joue avec les nerfs des marchés, certains l’accusant de manipulation de cours. Le risque est désormais l’explosion de la bulle. Car les digues censées protéger la finance ne semblent pas avoir été suffisamment renforcées depuis la crise de 2007-2008, déplore l’économiste Jézabel Couppey-Soubeyran dans sa chronique.
Le texte, un premier jet qui devra suivre un long et difficile parcours parlementaire, prévoit des coupes de 22 % dans les dépenses non militaires de l’Etat, soit 163 milliards de dollars.