L’offre publiée mardi soir, rejetée le lendemain par le groupe Altice, semble sonner le début de négociations pour la vente de l’opérateur. Un deal qui serait lourd de conséquences pour les salariés comme pour les télécoms français dans leur ensemble.
Au lendemain du dépôt de l’offre de Bouygues Telecom, Iliad et Orange, clients et employés encaissent la nouvelle. Dans les points de ventes parisiens de l’opérateur, on redoute que la réduction du nombre de concurrents fasse grimper la facture.
Le groupe spécialisé dans les articles de maison à petits prix espère tirer de l’opération, envisagée au cours de l’année prochaine, assez de liquidités pour préserver son activité.