Plus de 60 unités médico-légales en France soignent et prélèvent gratuitement sang, urine ou cheveux de potentielles victimes de violences sexuelles, sans qu’elles aient forcément entamé une procédure judiciaire.
Vigilance accrue, demandes de formation en hausse… Le procès des viols de Mazan, il y a un an, a servi de détonateur à une meilleure et nécessaire prise en compte de ce mode opératoire par les professionnels de santé.
Sept départements du Sud-Est ont été placés en vigilance orange ce lundi 1er septembre et la rentrée scolaire a été reportée à mardi dans les Bouches-du-Rhône et le Var.