Des chercheurs espagnols ont mis en évidence la présence de ces particules chimiques dans les fluides reproducteurs humains. Potentiellement nocives pour la fertilité, on les trouve dans les follicules de 69 % des femmes et le sperme de 55 % des hommes.
La préfecture s’est voulue rassurante ce mardi 1er juillet au soir, même si quatre personnes restent hospitalisées. La procureur Laure Beccuau a pour sa part dit attendre «vraisemblablement mercredi» le séquençage du génome.
L’épisode de forte chaleur a atteint mardi 1er juillet son pic, avec pour la première fois depuis cinq ans la vigilance rouge en Ile-de-France. A partir de mercredi 6 heures, cela ne concernera plus que l’Aube, l’Yonne, le Cher et le Loiret.