Caracas tempête contre «les coups d’Etats fomentés» par l’agence américaine, alors que l’hôte de la Maison Blanche a indiqué mercredi avoir autorisé des actions clandestines de l’agence de renseignement contre le Venezuela.

Arrêté une première fois en octobre 2015, l’intellectuel de 61 ans a été condamné pour avoir «fourni illégalement des renseignements à l’étranger». Sans nouvelles de lui, les eurodéputés et une coalition de 90 ONG appellent à sa libération immédiate.

Commandant de l’unité qui a pris le pouvoir sur l’île secouée par un mouvement de mobilisation massif de la jeunesse, le militaire doit être investi vendredi à la place du président destitué.