Athénaïs Cornette, Damien Dole, Laure Equy, photo Stéphane Dubromel. Hans Lucas
Alors que le groupe prévoit 636 suppressions de postes en France, dont 295 pour le site de Dunkerque, syndicats et élus locaux appellent Matignon à trouver une solution rapide.
L’annonce de la suppression de plus de 600 postes en France par le géant de la sidérurgie mobilise la gauche, qui demande à l’exécutif une mise «sous tutelle». Après les fausses promesses, il faut désormais apporter une réponse à la hauteur des attentes d’ouvriers d’ArcelorMittal.
Beaucoup de salariés des sites dunkerquois du géant de l’acier ont manifesté le 1er mai contre les suppressions de postes annoncées. Quatre d’entre eux témoignent.