La batterie de sanctions voulue par Emmanuel Macron est perçue, de l’autre côté de la Méditerranée, comme un ralliement du chef de l’Etat aux partisans de la ligne dure incarnée par le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau, face aux tenants du dialogue prôné par le chef de la diplomatie, Jean-Noël Barrot.
En dépit des promesses de campagne du candidat Macron, les départements, sommés de réduire leurs budgets, rognent sur les aides destinées au maintien à domicile des seniors.