Lors de la COP19, en 2013, celui qui était alors négociateur pour les Philippines avait bouleversé le monde par un discours empreint d’émotion. Présent à la COP30 au Brésil, il poursuit son combat pour la justice climatique.
Afin d’éviter un blocage, le premier ministre australien, Anthony Albanese, qui avait rejeté lundi une offre de co-organisation, affirme que son pays « ne chercher[a] pas à opposer [son] veto » si le choix se porte sur Ankara.
Alors que l’essentiel de la facture climatique repose aujourd’hui sur les contribuables et les budgets publics, une quinzaine de chercheurs en droit proposent, dans une tribune au « Monde », un dispositif pour redistribuer la charge en la faisant peser principalement sur les grandes entreprises productrices de pétrole, gaz et charbon.