Les délégations de 194 pays, réunies à Belem (Brésil), ont validé une hausse des efforts financiers en faveur de l’adaptation, mais elles ont échoué à établir une feuille de route contraignante de sortie des énergies fossiles et à rehausser significativement les efforts.
Les pourparlers auraient dû s’achever vendredi après-midi à Belem. Mais la présidence brésilienne a mis sur la table un projet de texte qualifié d’« inacceptable » par un certain nombre de parties, dont la France.
Le maire de la localité guyanaise de Montsinéry-Tonnégrande expose, dans une tribune au « Monde », appelle à reconnaître que « la Guyane intérieure est devenue un territoire pionnier de l’adaptation climatique française ».