Sur les réseaux sociaux, au milieu du défilement hypnotique de contenus formatés, des clips déroutants séduisent de plus en plus de jeunes en les faisant rire. Un phénomène à la fois communautaire et anonyme, porté par aucun influenceur, par lequel les utilisateurs prennent les plateformes à leur propre jeu.
Les Français veulent que de l’ordre soit remis dans les finances publiques. C’est possible, plaide l’économiste, à condition d’appliquer la bonne méthode.
Le numérique crée un terreau favorable au développement de nouvelles subcultures qui évoluent en parallèle de la culture « mainstream », explique la chercheuse, spécialiste des communautés de « sorcières », dans un entretien au « Monde ».