Vingt corps d’otages doivent encore être restitués. « Le travail n’est pas terminé ; les morts n’ont pas été restitués comme promis », avait averti Donald Trump avant ce nouveau transfert.
L’opposant à Paul Biya a revendiqué sa victoire malgré les menaces d’arrestation. Pour le moment, les autorités se contentent de hausser le ton, sans passer à l’acte.
Chaque année, des dizaines de milliers d’Ethiopiens transitent par cette région autonome avant de traverser le golfe d’Aden. Epuisés par la route et sans ressources financières, une partie d’entre eux cèdent aux sirènes de l’organisation djihadiste.