Donald Trump, qui s’est imposé en médiateur dans la guerre russo-ukrainiennne, tente de faire accepter à Kiev et aux Européens son « plan de paix », préparé avec Moscou, dont il a renoncé à exiger un cessez-le-feu. Si les initiatives du président américain peuvent sembler erratiques, elles sont aussi révélatrices de l’absence de normes en matière de processus de paix.
Le Bureau intégré des Nations unies met directement en cause Jean Ernest Muscadin pour la mort de vingt-huit personnes soupçonnées d’appartenir à des gangs, dans le sud du pays. Mais le commissaire du gouvernement compte de nombreux partisans au sein de la population, excédée par la violence et par l’incurie des autorités.
Les manifestants dénoncent notamment le projet d’augmentation des salaires du secteur public et des hausses d’impôts, estimant que ces mesures ne feront que renforcer la corruption.