Face à l’absence de résultats contre la grande criminalité, des parlementaires de gauche comme de droite avaient réclamé l’éviction du proche allié de la présidente Dina Boluarte.
Cette mise en cause suit la mise en examen, à la mi-avril, de trois personnes, dont un agent consulaire algérien, pour l’enlèvement et la séquestration de l’opposant au régime Tebboune.
Ce nouveau plan, dicté par l’ambition de la firme de vouloir se positionner au mieux dans «un marché dynamique», va toucher tous les niveaux des 228 000 personnes qu’elle emploie à travers le monde.