Jusque-là épargnée par la guerre, la ville, bastion du régime militaire mais aussi des ministères et ONG depuis la dévastation de Khartoum, est frappée par des raids aériens pour le troisième jour consécutif.
Plusieurs centrales électriques ainsi qu’une cimenterie auraient aussi été touchées par les bombardements de l’armée israélienne sur le fief des Houthis ce mardi 6 mai.
L’attaque du président américain contre les universités était planifiée et donc prévisible, explique à «Libération» la chercheuse Anaïs Le Fèvre-Berthelot.