Les objectifs flous et l’intitulé pompeux du texte, voté fin juin dans la discrétion en commission des affaires européennes de l’Assemblée, inquiètent les élus de l’opposition.
La ministre de la Culture aurait-elle orchestré le rejet de son texte pour accélérer son parcours législatif ? Les députés impliqués, d’opposition ou du «socle commun», n’y croient pas.