Sur BFM TV mardi soir, le leader insoumis et probable candidat à la prochaine présidentielle pense que les électeurs «préfèrent le politique qui a des défauts et des convictions que ceux qui n’ont pas de défaut mais pas de conviction».
Cette idée, soumise par un ministre de la Justice tout à ses ambitions personnelles, risque de précariser davantage une population qui vit déjà dans des conditions souvent indécentes.