La Caisse nationale de l’assurance maladie exclut les indemnités journalières liées au coronavirus de son suivi des dépenses concernant les arrêts de travail. Un symbole de l’aveuglement plus large des autorités sanitaires sur cette maladie, déplore auprès de «Libération» l’économiste Cécile Philippe.
Lors du procès le 27 mai devant le tribunal correctionnel de Draguignan, le parquet avait requis trois ans de prison ferme contre cette ancienne ambulancière de 53 ans, titulaire d’une licence de taxi depuis 2006.
Le projet de reprise, porté par l’allemand Adragos, constitue selon le géant pharmaceutique français «la seule solution qui s’offre pour donner un nouvel élan à ce site». La CGT Sanofi appelle «à revenir sur cette décision funeste».