Le procureur a annoncé requérir la peine de mort en se « basant uniquement sur les preuves disponibles, les circonstances et la nature du crime ». Outre les éléments matériels comme l’ADN, le dossier mentionne les échanges de l’accusé avec ses parents et son colocataire.
En 2015, le « dieselgate » révélait que les constructeurs automobiles trichaient au moment des tests d’émissions des moteurs diesel. Aujourd’hui, des associations dénoncent en justice la lenteur des pouvoirs publics pour imposer aux fabricants de se conformer à la législation, entraînant une surexposition à la pollution.
La police a mobilisé plus de mille agents dans le cadre de cette opération, la « plus grande de l’histoire du pays », et arrêté quarante-cinq personnes.