Outrageusement promu par le groupe du milliardaire breton, le souverainiste au discours radical connaît un regain de popularité inattendu à l’extrême droite. De quoi peser sur la prochaine campagne présidentielle.
Dans un climat d’impunité persistante depuis la chute de Bachar Al-Assad en décembre 2024, la fragile paix promise par le président de transition, Ahmed Al-Charaa, peine à contenir un désir de revanche tenace, que des groupes djihadistes exploitent pour renforcer leur influence.