Alertée par des fans, qui pointent depuis samedi 11 octobre de frappantes similarités entre les deux vidéos, l’autrice-compositrice-interprète accuse également l’industrie musicale coréenne de vampiriser la culture noire.
Moins nerveux et pudique que les précédents albums de l’artiste parisien, «Watt» laisse libre cours à son désir d’expérimentations harmoniques et vocales.