Dans «Vita mia», publié en réaction à la guerre en Ukraine et à Gaza, la dramaturge et poète italienne revisite son internement dans une prison japonaise entre 1943 et 1945 alors qu’elle était enfant. Et raconte comment sa famille a tenu grâce à l’écriture.
Déçu par les résultats du dernier «Fifa» et par son modeste 1,8 milliard de dollars de chiffre d’affaires, le mastodonte américain opère des «ajustements ciblés», après deux premières vagues de licenciements.